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U

[Saint-Simon, Eisenbahnen]

»Charakteristisch ist für die ganze Zeit bis 1830 die Langsamkeit der Ausbreitung der Maschinen … Die Mentalität der Unternehmer ist wirtschaftlich noch konservativ, sonst hätte der Einfuhrzoll auf Dampfmaschinen, für deren Herstellung doch nur ganz wenige französische Fabriken existierten, nicht auf 30 Prozent des Wertes erhöht werden können. So ist denn die französische Industrie der Restaurationszeit dem vorrevolutionären Regime durchaus noch wesensverwandt.« Willy Spühler: Der Saint-Simonismus Lehre und Leben von Saint-Amand Bazard Zürich 1926 p 12 [U 1, 1]

»Der mühsamen großindustriellen Entwicklung entspricht der langsame Prozeß der Bildung des modernen Proletariates … Die eigentliche Proletarisierung … der Arbeitermassen vollzieht sich erst Ende der dreißiger und in den vierziger Jahren.« Spühler: Der Saint-Simonismus p 13 [U 1, 2]

»Während der ganzen Periode der Restauration treibt … die Kammer eine Handelspolitik des extremsten Protektionismus … Die alte Theorie von der Handelsbilanz war wieder im Schwunge wie zur Zeit des Merkantilismus.« Spühler: Der Saint-Simonismus Zürich 1926 p 10/11 [U 1, 3]

»Erst im Jahre 1841 wird ein bescheidenes Gesetzchen betreffend die Kinderarbeit angenommen; interessant ist der Einwand des berühmten Physikers Gay-Lussac, in der Intervention sieht er nämlich ›un commencement de saint-simonisme ou de phalanstérisme‹.« Spühler: Der Saint-Simonismus p 15 [U 1, 4]

»Aphroditens Vögel fliegen in der Luft von Paris nach Amsterdam und haben die Kurszettel aus der Coulisse unter ihren Fittigen gebunden; ein Telegraph fingert von Paris nach Brüssel hinüber, wie hoch die 3prozentige Rente gestiegen ist; Kuriere eilen über die Landstraßen auf keuchenden Rossen; die Abgesandten der wirklichen Könige markten mit den ideellen Königen, und Nathan Rothschild in London zeigt Euch, wenn Ihr ihn besucht, ein Kästchen, das aus Brasilien mit ganz frischen, eben aufgefischten Diamanten angekommen ist, um damit die Zinsen der brasilischen laufenden Schuld zu decken. Ist dis nicht interessant?« Karl Gutzkow: Öffentliche Charaktere Erster Theil Hamburg 1835 p 280 (Rothschild) [U 1, 5]

»L’influence et le développement du saint-simonisme jusqu’à la fin du XIXe siècle n’ont à peu près aucun caractère ouvrier. Le saint-simonisme fournit un élan et un idéal à l’esprit de la grande industrie et à l’exécution des grands travaux. Les saint-simoniens Pereire gouvernent les entreprises ferroviaires, bancaires et immobilières de la monarchie de Juillet et du second Empire. Le canal de Suez, dont Enfantin et Lambert-Bey allèrent étudier les plans et organiser l’idée à un moment où Ferdinand de Lesseps était consul au Caire, est resté le type de l’entreprise planétaire saint-simonienne. On opposerait volontiers l’entreprise grande-bourgeoise du saint-simonisme, qui est de production et d’action, à l’entreprise petite-bourgeoise du phalanstère fouriériste qui est de consommation et de jouissance.« Albert Thibaudet: Les idées politiques de la France Paris 1932 p 61/62 ◼ Geheimbünde ◼ [U 1, 6]

»Girardin … fondait la Presse en 1836, inventait le jounal à bon marché et le roman feuilleton.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 391 [U 1, 7]

»Depuis quelques années, une révolution complète s’est opérée dans les cafés de Paris. Le cigare et la pipe ont tout envahi. Autrefois on ne fumait que dans certains établissements spéciaux, appelés estaminets, et fréquentés seulement par des gens de bas étage; aujourd’hui on fume presque partout … Il y a une chose que nous ne pouvons pardonner aux princes de la maison d’Orléans, c’est d’avoir si prodigieusement augmenté la vogue du tabac, cette plante puante, nauséabonde, qui empoisonne en même temps le corps et l’intelligence; tous les fils de Louis-Philippe fumaient comme des Suisses, personne autant qu’eux n’a poussé à la consommation de ce sale produit. Cela grossissait le trésor public, sans doute; mais c’est aux dépens de la salubrité publique et de l’intelligence humaine.« Histoire des cafés de Paris extraite des mémoires d’un viveur Paris 1857 p 91/92 [U 1 a, 1]

»Le symbolisme, si profondément enraciné … et qu’on ne trouve pas seulement dans les rits liturgiques: n’a-t-on pas vu, au siècle dernier, les disciples d’Enfantin revêtus d’un gilet qu’on boutonnait dans le dos pour attirer l’attention sur l’assistance fraternelle que l’homme doit à l’homme?« Robert Jacquin: Notions sur le langage d’après les travaux du P. Marcel Jousse Paris 1929 p 22 [U 1 a, 2]

»En 1807, il y avait dans Paris quatre-vingt-dix mille quatre cents ouvriers, qui exerçaient cent vingt-six métiers. Ils étaient soumis à une surveillance étroite, les associations étaient interdites, les bureaux de placement contrôlés, les heures de travail fixées. Les salaires allaient de 2 fr. 50 à 4 fr. 20, soit une moyenne de 3 fr. 35. L’ouvrier déjeunait solidement, dînait légèrement et soupait le soir.« Lucien Dubech, Pierre D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 335 [U 1 a, 3]

»Le 27 août 1817, le bateau à vapeur Le génie du Commerce, inventé par le marquis de Jouffroy, avait navigué sur la Seine, entre le Pont-Royal et le Pont Louis XVI.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris p 359 [U 1 a, 4]

Les ateliers nationaux »avaient été créés sur la proposition d’un modéré, Marie, parce que la Révolution avait garanti l’existence de l’ouvrier par le travail, et qu’il fallait donner une satisfaction aux extrémistes … Les ateliers étaient organisés de façon démocratique et militaire, brigades, avec chefs élus.« Dubech-D’Espezel lc p 398/99 [U 1 a, 5]

Die Saint-Simonisten. »Dans le magnifique désordre des idées qui accompagna le romantisme, ils grandirent assez pour abandonner en 1830 leur grenier de la rue Taranne, et venir s’installer rue Taitbout. Ils y donnaient des conférences devant un auditoire où les jeunes gens étaient vêtus en bleu et les dames en blanc avec des écharpes violettes. Ils avaient acheté le journal Le Globe et ils y préconisaient un programme de réformes … Le Gouvernement …, sous prétexte d’un prêche sur l’émancipation de la femme, poursuivit les Saint-Simoniens. Ils se rendirent à l’audience en grand costume, avec accompagnement de cor de chasse. Enfantin portait écrits en grosses lettres sur sa poitrine ces deux mots: ›le Père‹, et il déclara froidement au Président qu’il était en effet le père de l’humanité. Puis il chercha à hypnotiser les magistrats en les regardant dans les yeux. Il récolta un an de prison, qui mit fin à ces folies.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris p 392/93 ◼ Haussmann ◼ Geheimbünde ◼ [U 1 a, 6]

»Girardin veröffentlichte … eine Broschüre unter dem Titel: ›Weshalb eine Constitution?‹ Er wollte, daß die ganze französische Verfassung durch eine einfache Erklärung in zehn Zeilen ersetzt werde, die man auf ein Fünffrankenstück graviren … sollte.« S. Engländer lc 〈Geschichte der französischen Arbeiter-Associationen Hamburg 1864〉 IV p 133/134 [U 1 a, 7]

»Au temps de la Révolution commence à paraître dans Paris un élément nouveau: la grande industrie. C’est une conséquence de la disparition des corporations, du régime de liberté sans contrôle qui suivit et des guerres contre l’Angleterre, qui obligeaient à fabriquer les objets que procurait jadis l’importation. A la fin de l’Empire, l’évolution sera complète. Dès la période révolutionnaire, on voit s’établir des fabriques de salpêtre, de fusils, de tissus de coton et de laine, de conserves de viande, de petit outillage. On développe les filatures mécaniques du lin, du coton, encouragées par Calonne dès 1785, les fabriques de bronze fondées sous Louis XVI, les industries des produits chimiques et des matières colorantes, installées à Javel par le comte d’Artois. Didot-Saint-Léger exploite rue Sainte-Anne la nouvelle machine à fabriquer le papier. En 1799, Philippe Lebon fait breveter un procédé de fabrication de gaz d’éclairage. Du 22 au 30 septembre 1798 est tenue au Champ-de-Mars la première ›exposition publique des produits des manufactures et de l’Industrie françaises‹.« Dubech-D’Espezel: Histoire de Paris Paris 1926 p 324 ◼ Ausstellungen ◼ [U 2, 1]

Über die Saint-Simonisten: »Ecole constituée par un véritable corps d’ingénieurs et entrepreneurs industriels, gros brasseurs d’affaires soutenus par la puissance des banques.« A Pinloche: Fourier et le socialisme Paris 1933 p 47 [U 2, 2]

»Obschon die Arbeiter-Associationen sämmtlich musterhaft, tüchtig und redlich geleitet wurden, … war dennoch die Bourgeoisie einstimmig gegen dieselben eingenommen. Die meisten Bürger fühlten eine gewisse Bangigkeit, wenn sie vor einem der Häuser vorübergingen, welche das Zeichen … und Schild einer Arbeiter-Association trugen. Obschon die Läden derselben sich nur durch die Ueberschrift: ›Association fraternelle d’ouvriers. Liberté, Egalité, Fraternité‹ von anderen ähnlichen Geschäften unterschieden, so machten dieselben doch auf den Spießbürger den Eindruck von lauernden Schlangen, die plötzlich eines Morgens hervorspringen könnten. Es genügte dem Spießbürger an die Februar-Revolution zu denken, welche der Ursprung dieser Associationen gewesen war … Die Arbeiter-Associationen ihrerseits machten alle möglichen Anstrengungen, um die Bourgeoisie zu versöhnen und hofften, von ihr Unterstützung zu finden. Aus diesem Grunde statteten viele derselben ihre Läden auf das glänzendste aus, um dadurch recht viele Käufer anzulocken. Die Entbehrungen, welche sich die Arbeiter auf diese Art selbst auflegten, um die Concurrenz bestehen zu können, sind unglaublich. Während der Verkaufs-Laden, der dem Publikum offen stand, auf das kostspieligste ausgestattet war, saßen die Arbeiter in der Werkstätte, in der oft gar keine Geräthschaften vorhanden waren, auf dem Fußboden.« Sigmund Engländer: Geschichte der französischen Arbeiter-Associationen Hamburg 1864 III p 106-08 ◼ Geheime Gesellschaften ◼ [U 2, 3]

Einfluß des Feuilletons in seiner Frühzeit. »Il y a des feuilles à un sol et des feuilles à dix centimes. Un marchand voit passer un bon gros bourgeois, qui, après avoir bravement lu son Constitutionnel …, le plie négligemment et le met dans sa poche. Il aborde ce courageux lecteur, et lui présentant, soit le Peuple, soit la Révolution, qui ne valent qu’un sou, il lui dit: – Monsieur, si vous voulez, je vous donne le Peuple, par le citoyen Proudhon, et son supplément, avec un feuilleton du célèbre Ménars-Senneville, pour celui-ci que vous avez lu. Le bourgeois se laisse aller; que peut-on faire d’un Constitutionnel qu’on a lu? Il donne son journal et prend l’autre, alléché qu’il l’est par le nom tout puissant de Ménars-Senneville. Souvent même il s’oublie, dans sa joie d’être débarrassé de ce qui l’a tant ennuyé, il donne encore un sol par-dessus le marché.« A Privat D’Anglemont: Paris inconnu Paris 1861 p 155/56 [U 2 a, 1]

Le fameux principe de Villemessant »qu’un fait tout ordinaire, mais qui se passe aux boulevards ou dans les environs, a beaucoup plus d’importance au point de vue du journalisme qu’un événement considérable en Amérique ou en Asie.« Jean Morienval: Les créateurs de la grande presse en France Paris 〈1934〉 p 132 [U 2 a, 2]

»L’Autographe était dirigé par Bourdin, car Villemessant, comme Napoléon, aimait à donner des royaumes. Ce curieux homme, très indépendant d’esprit, a rarement agi seul. Il ›collaborait‹.« Jean Morienval: Les créateurs de la grande presse en France Paris p 142 [U 2 a, 3]

Dichtung des Saint-Simonismus: »In der Vorrede zum ersten Bande des ›Producteur‹ appelliert A. Cerclet in eindringlicher Weise an die Künstler … Ebenso redet Buchez, das spätere Haupt der Genossenschaftsbewegung, der Künstlerschaft zu … Buchez prägt … das Wort, daß der Klassizismus und die Romantik sich in die Welt teilen, mit der sie – die Saint-Simonisten – sich beschäftigen, wie die Legitimität und der Liberalismus sich in die politische Welt teilen … Im Jahre 1825 wurde dem Erbauer des Languedoc-Kanals, Pierre Riquet, ein Denkmal errichtet. Soumet dichtete bei dieser Gelegenheit eine schwungvolle Hymne … Der Literaturchronist des ›Producteur‹, Leon Halévy, der Bruder des berühmten Komponisten, begrüßte diese Verse auf das lebhafteste und qualifizierte sie als ›industrielle Poesie‹ … Soumet erfüllte immerhin die Hoffnungen, die die Saint-Simonisten auf ihn setzten, nur teilweise. Klingen auch später noch in seiner ›Divine Epopée‹ die Hämmertakte und das Räderlärmen der industriellen Arbeit wieder, so äußerte sich gerade in diesem größten Werke des Dichters der Hang zu metaphysischen Abstraktionen … Halévy war übrigens selbst Dichter … Im Jahre 1828 publiziert Halévy seine ›Poésies européennes‹ … 1831 erscheint von ihm eine Ode auf Saint-Simon, der 1825 gestorben war.« H. Thurow: Aus den Anfängen der sozialistischen Belletristik Die neue Zeit Stuttgart 1903 XXI, 2 p 217-219 [U 2 a, 4]

Über eine Rezension Sainte-Beuves in der Revue des deux Mondes vom 15 Februar 1833: »Die Verse, die Sainte-Beuve … rezensierte, waren der poetische Nachlaß eines sehr jung gestorbenen Dichters Namens Bruheille … Sainte-Beuve macht uns übrigens in der gleichen Chronik mit einem Roman bekannt, der den bezeichnenden Titel: ›La Saint-Simonienne‹ führte und der den Triumph des Saint-Simonistischen Gedankens … demonstriert. Daß die Autorin, eine Madame Le Bassu, diesen Triumph auf etwas unwahrscheinlichem Wege zu Stande bringt, nämlich durch die Transfusion des Blutes aus den Adern des mit der Simonistischen Lehre infizierten Jünglings in diejenigen der streng kirchlich erzogenen Geliebten, ist wohl im wesentlichen als ein künstlicher Notgriff zu betrachten, kehrt zugleich aber auch die mystische Seite des Saint-Simonismus hervor. Das mystische Element des letzteren hatte sich kurz zuvor, während des Aufenthaltes der ›Familie‹ in ihrer letzten Zufluchtsstätte in der Rue Ménilmontant stark entfaltet. Jene letzte Episode der Bewegung zeitigte auch eine entsprechende Literatur, Gedichte, Gesänge, Andachtsübungen in Reim und Prosa, deren rätselhafte Symbolik nur den wenigen Eingeweihten verständlich sein konnte … Der Saint-Simonismus, von der Macht der politischen und wirtschaftlichen Entwicklung aus seinem Geleise gedrängt, hatte sich in der Metaphysik festgefahren.« H. Thurow: Aus den Anfängen der sozialistischen Belletristik Die Neue Zeit Stuttgart 1903 XXI, 2 p 219/220 [U 3, 1]

Utopischer Sozialismus. »Die Kapitalistenklasse … betrachtete seine Anhänger als sonderbare Heilige und harmlose Schwärmgeister … Diese Anhänger trugen übrigens selbst das Menschenmögliche dazu bei, um als solche … zu erscheinen. So trugen sie Kleidungsstücke von ganz besonderem Schnitt (die St. Simonisten knöpften z. B. ihre Röcke auf dem Rücken zu, damit sie beim Ankleiden auf die Hilfe eines Genossen angewiesen waren und dadurch auf die Nothwendigkeit der Vereinigung hingewiesen wurden), ungewöhnlich große Hüte, sehr lange Bärte etc.« Paul Lafargue: Der Klassenkampf in Frankreich Die neue Zeit XII, 2 p 618 [U 3, 2]

»Nach der Julirevolution brachten die Saint-Simonisten sogar das Kampforgan der Romantiker, den ›Globe‹, an sich. Pierre Leroux wurde der Herausgeber.« Franz Diederich: Victor Hugo Die neue Zeit XX, 1 p 651 Stuttgart 1901 [U 3, 3]

Aus dem Bericht über die Nummer der Zeitschrift »Der Kampf« der österreichischen Sozialdemokratie November 1911: »›Zu Saint-Simons 150. Geburtstag‹ … schrieb Max Adler: … Als Sozialist wurde er bezeichnet, als dieses Wort noch ganz etwas anderes bedeutete wie heute … Vom Klassenkampf sieht er nur den Gegensatz des Industrialismus zum alten Regime; aber Bourgeoisie und Arbeiter betrachtet er als eine zusammengehörige industrielle Klasse, von der er die reicheren Mitglieder auffordert, sich des Loses ihrer armen Mitarbeiter anzunehmen. Fourier hatte einen klareren Ausblick in die Notwendigkeit einer neuen Gesellschaftsform.« Zeitschriftenschau Die neue Zeit XXIX, 1 1911 p 383/84 [U 3, 4]

Engels über Feuerbachs »Wesen des Christentums«: »Selbst die Fehler des Buchs trugen zu seiner augenblicklichen Wirkung bei. Der belletristische, stellenweise sogar schwülstige Styl sicherte ein größeres Publikum und war immerhin eine Erquickung nach den langen Jahren abstrakter und abstruser Hegelei. Dasselbe gilt von der überschwänglichen Vergötterung der Liebe, die gegenüber der unerträglich gewordnen Souveränität des ›reinen Denkens‹ eine Entschuldigung … fand. Was wir aber nicht vergessen dürfen: gerade an diese beiden Schwächen Feuerbachs knüpfte der seit 1844 sich im ›gebildeten‹ Deutschland wie eine Seuche verbreitende ›wahre Sozialismus‹ an, der an die Stelle der wissenschaftlichen Erkenntniß die belletristische Phrase, an die Stelle der Emanzipation des Proletariats durch die ökonomische Umgestaltung der Produktion, die Befreiung der Menschheit vermittelst der ›Liebe‹ setzte, kurz sich in die widerwärtige Belletristik und Liebesschwüligkeit verlief, deren Typus Herr Karl Grün war.« Friedrich Engels: Ludwig Feuerbach und der Ausgang der klassischen deutschen Philosophie Die neue Zeit IV Stuttgart 1886 p 150 [Anzeige von C. N. Starcke: Ludwig Feuerbach Stuttgart 1885][U 3 a, 1]

»Die Eisenbahnen … verlangten neben anderen unmöglichen Dingen eine Umwandlung des Eigentumsmodus … Tatsächlich betrieb bis dahin ein Bürger eine Industrie oder einen Handel nur mit seinem Gelde, höchstens noch mit dem von einem oder zwei Freunden und Bekannten … Er verwaltete das Geld und war der tatsächliche Eigentümer der Fabrik oder des Handelshauses. Aber die Eisenbahnen bedurften so riesengroßer Kapitalien, daß es unmöglich war, diese in den Händen von nur wenigen Personen angehäuft zu finden. So mußten denn eine große Anzahl von Bürgern ihr geliebtes Geld, das sie niemals aus dem Auge ließen, Leuten anvertrauen, deren Namen sie kaum kannten … War das Geld einmal hingegeben, so verloren sie jede Kontrolle über seine Verwendung, ebensowenig hatten sie ein Eigentumsrecht an den Bahnhöfen, Waggons, Lokomotiven usw. … Sie hatten nur ein Anrecht auf die Überschüsse; anstatt eines Gegenstandes … übergab man ihnen … ein unscheinbares Blatt Papier, das die Fiktion eines unendlich kleinen und unfaßbaren Teilchens des positiven Eigentums darstellte, dessen Namen in großen Buchstaben darunter stand … Diese Form … stand in so heftigem Widerspruch zu der den Bourgeois vertrauten …, daß sich zu ihrer Verteidigung nur Leute fanden, die … im Geruch standen, die Gesellschaftsordnung stürzen zu wollen, nur Sozialisten: Fourier als erster und St. Simon priesen die Mobilisierung des Eigentums in papierne Aktien.« Paul Lafargue: Marx’ historischer Materialismus Die neue Zeit XXII, 1 Stuttgart 1904 p 831 [U 3 a, 2]

»Il y a une émeute par jour. Les étudiants, fils de bourgeois, y fraternisent avec les ouvriers, et les ouvriers croient que c’est arrivé. On compte sérieusement aussi sur les élèves de l’Ecole polytechnique.« Nadar: Quand j’étais photographe Paris 〈1900〉 p 287 [U 3 a, 3]

»Nicht in proletarischen, ja nicht einmal in demokratischen Kreisen ist die erste Idee … zur Gründung von Arbeitsbörsen zu suchen. Herr de Molinari, der Chefredakteur des ›Journal des Economistes‹, verlegt sie in das Jahr 1842. Er selbst war es, der diese Idee in einer Arbeit entwickelte, die er über ›L’avenir des chemins de fer‹ … schrieb. Um nachzuweisen, wie sehr sich die Zeiten geändert hatten, berief er sich nur auf Adam Smith, der sich ungefähr dahin äußerte, daß die Waare Arbeit die am schwersten transportable sei. Er konstatirte dagegen, daß die Arbeitskraft beweglich geworden war. Europa, die ganze Welt steht ihr als Markt offen … Der Schwerpunkt der Schlußfolgerung, welche de Molinari in seinem Artikel ›L’avenir des chemins de fer‹ zu Gunsten von Einrichtungen entwickelte, welche als Arbeitsbörsen dienen sollten, war der folgende: Die Hauptursache des niedrigen Preises der Löhne ist das häufig bestehende Mißverhältniß zwischen der Zahl der Arbeiter und der Nachfrage nach Arbeit; sie liegt ferner in der übermäßigen Anhäufung von Arbeiterbevölkerung in gewissen Produktionszentren … Gebt den Arbeitern die Mittel, mit Aufwendung geringer Kosten … ihren Aufenthaltsort verändern zu können; gebt ihnen auch die Möglichkeit, zu erfahren, wo sie Arbeit zu den günstigsten Bedingungen finden werden … Wenn die Arbeiter schnell und vor allen Dingen billig reisen, so werden bald für die Arbeit Börsen entstehen.« – Über den Vorschlag, ein bulletin du travail zu schaffen: »Mit diesem Vorschlag, welcher in dem von Xavier Durrieu herausgegebenen ›Courrier français‹ veröffentlicht wurde, wendete man sich unmittelbar an die Arbeiter … ›Wir wollen den Arbeitern einen … Dienst dadurch erweisen, daß wir in unseren Spalten gegenüber dem Kurszettel der Börse einen Kurszettel der Arbeit veröffentlichen … Wozu dient der Kurszettel der Börse? Der Kurszettel zeigt bekanntlich den Kurs der Staatspapiere und der Aktien … auf den verschiedenen Märkten der Welt an … Ohne das Vorhandensein des Kurszettels würden die Kapitalisten sehr oft nicht wissen, wo sie ihr Geld anlegen sollen; ohne ihn würden sie sich in der gleichen Lage befinden wie Arbeiter, welche … nicht wissen, wohin sie sich wenden müssen, um Arbeit zu finden … Der Arbeiter ist ein Verkäufer von Arbeit, und als solcher hat er alles Interesse daran, die Absatzgebiete kennen zu lernen, welche für seine Waare vorhanden sind.‹« Louis Héritier: Die Arbeitsbörsen Die neue Zeit Stuttgart 1896 XIV, 1 p 645-647 [U 4, 1]

Bemerkenswerter Unterschied zwischen Saint-Simon und Marx. Der erste greift die Zahl der Ausgebeuteten möglichst groß, rechnet auch noch den Unternehmer dazu, weil er seinen Geldgebern Zins zahlt. Marx umgekehrt rechnet alle, die noch irgendwie ausbeuten, auch wenn sie übrigens Opfer der Ausbeutung sind, dem Bürgertum zu. [U 4, 2]

Es ist bezeichnend, daß den Theoretikern des Saint-Simonismus der Unterschied zwischen Industrie- und Finanzkapital nicht geläufig ist. Alle sozialen Antinomien lösen sich in der Feerie auf, die der progrès für nahe Zukunft in Aussicht stellt. [U 4 a, 1]

»Pénétrons dans quelques-unes des grandes villes manufacturières de France … Jamais, peut-être, armée vaincue et en déroute n’a présenté un plus lamentable spectacle que l’armée industrielle triomphante. Voyez les ouvriers de Lille, de Reims, de Mulhouse, de Manchester et de Liverpool, et dites s’ils ressemblent à des vainqueurs!« Eugène Buret: De la misère des classes laborieuses en Angleterre et en France Paris 1840 I p 67 [U 4 a, 2]

Zur politischen Rolle der Intelligenz. Wichtig der »Brief an Herrn Lamartine« von Emile Barrault, Redacteur des »Tocsin des travailleurs«. [»Die socialistischen und communistischen Bewegungen seit der dritten französischen Revolution« Anhang zu Steins Socialismus und Communismus des heutigen Frankreichs Leipzig und Wien 1848 p 240][U 4 a, 3]

Zu ermitteln: ob nicht in der vorimperialistischen Epoche ein verhältnismäßig größerer Anteil des Kapitalproftits in den Konsum, ein verhältnismäßig kleinerer in Neuinvestitionen einging. [U 4 a, 4]

1860⁠〈:〉 »Napoléon concluait avec le gouvernement anglais un traité de commerce … en vertu duquel les droits de douane entre les deux pays étaient considérablement abaissés, en Angleterre, pour les produits agricoles français, en France, pour les produits manufacturés anglais. Ce traité était très favorable à la masse du public … Par contre, pour résister à la concurrence anglaise, les industriels français furent obligés de diminuer leurs prix de vente: de là … leur entrée dans l’opposition. Afin de contrebalancer l’opposition des … industriels, Napoléon crut utile de chercher l’appui des libéraux: de là la transformation du régime et l’Empire libéral.« A Malet et P Grillet: XIXe siècle Paris 1919 p 275 (Lockerung der Preßaufsicht, Zur gebrachten Publikation der Kammerdebatten) [U 4 a, 5]

Gruppierung der Presse unter der Restauration. Ultras⁠〈?〉: Gazette de France, Quotidienne, Drapeau blanc, Journal des Débats (bis 1824); Indépendants: Globe, Minerve und ab 1830 im letzten Jahr der Restauration National, Temps; Constitutionnel: Constitutionnel, Courrier Français und ab 1824 Journal des Débats. [U 4 a, 6]

Wegen der Seltenheit der Zeitungen, las man die Blätter in den Cafés zu mehrern. Sonst konnte man sie sich nur im Abonnement verschaffen was gegen 80 frcs jährlich kostete. 1824 hatten die 12 verbreitetsten Journale zusammen etwa 56 000 Abonnenten. Im übrigen waren die Liberalen ebenso wie die Royalisten daran interessiert, die untern Schichten von der Zeitung fernzuhalten. [U 4 a, 7]

Die von der Pairs-Kammer abgelehnt⁠〈e〉 loi de justice et d’amour. »Un détail suffit à montrer l’esprit du projet: toute feuille imprimée, fût-ce un simple billet de faire-part, aurait eu à payer une taxe de un franc par exemplaire.« A Malet et P Grillet: XIXe siècle Paris 1919 p 56 [U 5, 1]

»Bei der Geschichte des 15.-18. Jahrhunderts verweilt St.-Simon länger und gibt den Klassen dieser Periode eine konkretere, speziell wirtschaftliche Charakteristik. Deshalb ist für die Entwicklung der Theorie des Klassenkampfes dieser Teil des Systems St.-Simons von allergrößter Bedeutung, sie übte den stärksten Einfluß auf die weitere Entwicklung … aus … Wenn St.-Simon für die späteren Epochen das wirtschaftliche Moment in der Charakteristik der Klassen und der Ursachen ihres Wachstums und Zerfalls hervorhebt …, so hätte er konsequenterweise in dieser wirtschaftlichen Tätigkeit auch die eigentlichen Wurzeln der Gesellschaftsklassen suchen sollen. Hätte er diesen Schritt getan, so wäre er unvermeidlich zur materialistischen Geschichtsauffassung gelangt. Aber St.-Simon macht diesen Schritt nicht, seine allgemeine Konzeption bleibt idealistisch … Der zweite Punkt, der in der Klassentheorie St.-Simons, durch seine Diskrepanz mit den realen Klassenverhältnissen dieser Epoche, Verwunderung erregt, ist die Vorstellung von der Klasse der Industriellen als einer einheitlichen Klasse … Die offensichtlich sehr wesentlichen Unterschiede, die zwischen Proletariern und Unternehmern bestehen, sind für ihn äußerliche, und ihr Antagonismus ist auf gegenseitiges Unverstehen begründet. In Wirklichkeit fielen die Interessen der Leiter der industriellen Unternehmungen mit den Interessen der Volksmassen zusammen … Diese völlig unbegründete Behauptung löst für St.-Simon den sehr realen gesellschaftlichen Widerspruch, rettet die Einheit der industriellen Klasse und somit die Perspektive auf friedlichen Aufbau des neuen gesellschaftlichen Systems.« V. Volgin: Über die historische Stellung St.-Simons (Marx-Engels-Archiv hg von D. Rjazanov I Band Frankfurt a/M 〈1928〉) p 97-99 [U 5, 2]

Saint-Simon⁠〈:〉 »Das Industriesystem erfordere am allerwenigsten die Leitung der Menschen, da in einem System, dessen direktes Ziel das Wohl der Mehrheit sei, nicht Energie für die Machterhaltung über die Mehrheit verloren werden dürfe, die nicht mehr Feind der bestehenden Ordnung sei … ›La fonction de maintenir l’ordre peut alors aisément devenir … une charge commune à tous les citoyens, soit pour contenir les perturbateurs, soit pour décider les contestations.‹ Statt Beherrschung der Menschen werde das Staatssystem zum Verwaltungssystem der Sachen … Und die Hauptaufgabe dieser administrativen Macht, deren Träger die Gelehrten, Künstler und Industriellen sein werden, werde die Organisation der Kultivierung der Erdkugel … sein.« V. Volgin: Über die historische Stellung St.-Simons (Marx-Engels-Archiv hg. von Rjazanov I Band Frankfurt a/M) p 104/105 [U 5, 3]

Zur Idee des Gesamtkunstwerks, nach Saint-Simon: Œuvres choisies III p 358-360; »St.-Simon phantasiert von der Entwicklung des Kultes durch die gemeinsamen Bemühungen der Propheten, Dichter, Musiker, Bildhauer und Architekten. Alle Künste sollen vereinigt werden, um den Kult der Gesellschaft nützlich zu machen, um durch den Kult die Menschheit im Geiste der christlichen Moral umzubilden.« V. Volgin: Über die historische Stellung St.-Simons (Marx-Engels-Archiv I Band Frankfurt a/M) p 109 [U 5 a, 1]

Zur Darstellung Louis-Philippes. – Saint-Simon lehrt, »das industrielle System widerspreche nicht der königlichen Gewalt. Der König werde darin der erste Industrielle sein, wie er früher der erste Fürst gewesen sei.« V. Volgin: Über die historische Stellung St.-Simons (Marx-Engels-Archiv Band I Frankfurt a/M) p 112 [U 5 a, 2]

Saint-Simon war ein Vorläufer der Technokraten. [U 5 a, 3]

Zwei Stellen aus dem Globe (vom 31 octobre und 25 novembre 〈1831〉) über den Lyoner Arbeiteraufstand: »nous, défenseurs de TOUS les travailleurs, des directeurs d’industrie comme des ouvriers des rangs les plus humbles« und über die Arbeiterklasse: »Il nous est déchirant de la voir se flétrir par sa brutalité. Notre coeur saigne au spectacle de ces misères morales bien autrement hideuses que les misères physiques … Nous voudrions … lui communiquer … les sentiments d’ordre, de paix et de conciliation dont nous sommes pleins.« Ebendort eine zustimmende Wendung an die Adresse der lyonner Saint-Simonisten, welche »ont conservé le calme Saint-Simonien«. cit bei E Tarlé: Der Lyoner Arbeiteraufstand (Marx-Engels-Archiv hg von Rjazanov II Frankfurt a/M 1928 p 108, 109, 111) [U 5 a, 4]

Wichtiges Material zur Geschichte der Eisenbahn und besonders der Lokomotive bei Karl Kautsky: Die materialistische Geschichtsauffassung I Berlin 1927 p 645 ff. Es ergibt sich die große Bedeutung des Bergwerks für das Eisenbahnwesen, indem nicht nur dort Lokomotiven zuerst verwendet wurden sondern auch die Eisenschiene von dorther aufkam. Man ging dabei auf den Gebrauch zurück, der bei Beförderung der Hunte von Schienen (ursprünglich wohl hölzernen) gemacht wurde. [U 5 a, 5]

Zu Saint-Simons Fortschrittsidee (Polytheismus, Monotheismus, Erkenntnis der vielen Naturgesetze, Erkenntnis des einen Naturgesetzes)⁠〈:〉 »Die Gravitation soll die Rolle der allgemeinen absoluten Idee spielen und die Idee von Gott ersetzen.« Œuvres choisies II p 219 cit bei V. Volgin: Über die historische Stellung St.-Simons (Marx-Engels-Archiv I Frankfurt a/M p 106) [U 5 a, 6]

»In dem System der St.-Simonisten spielen die Banken nicht nur die Rolle von Kräften, die die Industrie organisieren. Sie sind das einzige Gegengift, das das jetzt bestehende System gegen die es zerrüttende Anarchie herausgearbeitet hat, ein Element des zukünftigen Systems … von dem Stimulans der persönlichen Bereicherung frei und eine gesellschaftliche Einrichtung.« V. Volgin: Über die historische Stellung St.-Simons (Marx-Engels-Archiv hg von Rjazanov I Frankfurt a/M p 94) [U 6, 1]

»Die Hauptaufgabe eines industriellen Systems sei die Aufstellung eines … Arbeitsplanes, der von der Gesellschaft ausgeführt werden soll … Aber … sein Ideal nähert sich bedeutend mehr dem Staatskapitalismus als dem Sozialismus. Bei St.-Simon ist keine Rede von Aufhebung des Privateigentums, von Expropriation. Der Staat unterwirft die Tätigkeit der Industriellen nur bis zu einem gewissen Maß dem allgemeinen Plane … St.-Simon … [war] die Neigung zu ausgedehnten Projekten … während seiner ganzen Karriere zu eigen, beginnend mit den Plänen zum Panama- oder Madrider Kanal und endend mit den Plänen zur Umwandlung der Erdkugel in ein Paradies.« V. Volgin: Über die historische Stellung St.-Simons (Marx-Engels-Archiv I Frankfurt a/M p 101/102 u 116) [U 6, 2]

»Man ›demokratisierte‹ die Börsenpapiere, damit alle Welt an dem Segen der modernen Assoziation teilhaben könne: Denn als ›Association‹ verherrlichte man jetzt die Akkumulierung der Kapitalien in Aktiengesellschaften, über welche die leitenden Finanzleute auf Kosten der Aktionäre souverän verfügen.« W. Lexis: Gewerkvereine und Unternehmerverbände in Frankreich Leipzig 1879 p 143 cit bei D. Rjazanov: Zur Geschichte der ersten Internationale (Marx-Engels-Archiv hg von D. Rjazanov I Frankfurt a/M p 144) [U 6, 3]

Emile Péreire, ehemaliger Saint-Simonist war Gründer des Crédit Mobilier. – Chevalier zeichnet in der Religion Saint-Simonienne »ancien élève de l’école polytechnique«. [U 6, 4]

Zur Geschichte der Zeitung. Klassenmäßige Differenzierung und Auflagenhöhe der Literatur, die unter Charles X gegen die Kongregationen aufgeboten wurde. »Voltaire, plus ou moins abrégé, est approprié à l’esprit et aux loisirs de toutes les conditions! il y a le ›Voltaire de la grande propriété‹, le ›Voltaire de la moyenne propriété‹, le ›Voltaire des chaumières‹. Il y a aussi les éditions de Tartuffe à trois sous. On réédite … Holbach, … Duprais⁠〈?〉 … Volny. On assure que … plus de 2 700 000 volumes ont été en sept années jetés de la sorte dans la circulation.« Pierre de la Gorce: La restauration II Charles X Paris p 58 [U 6, 5]

Erwartung des Révélateur, der das Ende des Bourgeois heraufführt und »rendra grâce au père de famille de ce qu’il aura paisiblement géré l’héritage du seigneur.« Dies vermutlich eine Anspielung auf Enfantin. Im Eingang dieses Stücks eine Art complainte des Proletariats, auf das die Flugschrift auch am Schluß verweist: »Emancipateur pacifique, il parcourra le monde, distribuant l’affranchissement au prolètaire et à la femme Die complainte: »Si vous êtes venus dans nos ateliers, vous avez vu ces masses de fer embrasé que nous retirons des fournaises et que nous jetons entre les dents des cylindres qui tournent plus vite que ne va le vent. Il en jaillit un lait de feu qui s’écoule par bouillons et qui se répand dans l’air en gouttes étincelantes, et le fer sort des dents du cylindre prodigieusement amaigri. En vérité nous sommes comprimés comme ces masses de fer. Si vous êtes venu dans nos ateliers, vous avez vu ces câbles des mines enroulés autour d’une roue, qui vont chercher à douze cents pieds de profondeur des blocs de pierre ou des montagnes de charbon. La roue crie sur son essieu, le câble s’alonge sous son énorme charge. Nous sommes tirés comme le câble; mais nous ne crions pas comme la roue, car nous sommes patients autant que forts. Grand Dieu! qu’ai-je fait, dit le peuple abîmé de douleur comme le roi David; qu’ai-je fait pour que mes fils les plus vigoureux deviennent de la chair à canon, et que mes filles les plus belles deviennent de la chair à prostitution?« Religion Saint-Simonienne Michel Chevalier: Le bourgeois. – Le révélateur. 〈Paris 1830 p 3/4, 1〉 [U 6 a, 1]

Chevalier 1848. Er spricht von dem vierzigjährigen Aufenthalt von Israel in der Wüste, ehe es ins gelobte Land kam. »Nous aurons, nous aussi, une station à faire avant de passer sous le régime … de … la prospérité des travailleurs. Acceptons ce temps d’arrêt … Et si quelques personnes s’efforçaient d’exciter le courroux populaire … sous prétexte que l’amélioration doit être prochaine …, placardons ces paroles que Franklin, un ouvrier qui était devenu un grand homme … disait à ses concitoyens: ›Si quelqu’un vous dit que vous pouvez vous enrichir autrement que par le travail et l’économie, ne l’écoutez pas; c’est un empoisonneur.‹« Franklin: Conseils pour faire fortune Paris 1848 (p I/II der Vorrede von Michel Chevalier) [U 6 a, 2]

Die Presse unter Charles X: »L’un des personnages de la cour, M. Sosthène de la Rochefoucault …, imagine un grand projet, celui d’absorber, en les achetant, les journaux de l’opposition; mais ceux-là seuls se laissent acheter qui n’ont aucune influence à vendre.« Pierre de la Gorce: La Restauration II Charles X Paris p 89 [U 7, 1]

Die Fourieristen versprachen sich massenhafte Bekehrungen im Publikum durch Einführung eines Feuilletons in die »Phalange«, (vgl. Ferrari: Des idées et de l’école de Fourier Revue des deux mondes XIV 1845 (3) p 432) [U 7, 2]

»O poètes! vous avez des yeux et vous ne voyez pas! des oreilles, et vous n’entendez pas! Ces grandes choses se passent en votre présence, et vous nous apportez des chants de guerre!« [Es folgt eine Charakteristik der kriegerischen Inspiration der Marseillaise.] »Cet hymne de sang, ces imprécations atroces, témoignent non du danger de la patrie, mais de l’impuissance de la poésie libérale; poésie sans inspiration hors de la guerre, de la lutte ou de la plainte … O peuple! chante cependant, chante la Marseillaise, puisque tes poètes restent muets ou qu’ils ne savent que réciter une pâle copie de l’hymne de tes pères. Chante! l’harmonie de tes accens prolongera quelques temps encore l’allégresse dont le triomphe avait rempli ton ame; les jours de bonheur sont pour toi si rares et si courts! Chante! … ta joie est si douce à ceux qui sympathisent avec toi! il y a si longtemps qu’ils n’avaient entendu sortir de ta bouche que des plaintes, des gémissemens et des murmures!« Religion Saint-Simonienne La Marseillaise (Extrait de l’Organisateur du 11 septembre 1830) [Verf⁠〈asser〉 nach Catalogue de la B⁠〈ibliothèque〉 N⁠〈ationale〉 Michel Chevalier] p 3/4 Der Grundgedanke dieser Rhapsodie ist die Konfrontation der milden Julirevolution mit der blutigen von 1789. Dementsprechend die Einleitung der Betrachtung: »Trois jours de combat ont suffi pour renverser le trône de la légitimité et du droit divin … Vainqueurs étaient le peuple qui vit de ses labeurs, la canaille qui encombre les ateliers, la populace qui travaille misérablement, les prolétaires qui n’ont d’autre propriété que leurs bras: c’était cette race si méprisée des dandys de salons et des gens comme il faut, parce qu’elle sue sang et eau pour avoir du pain, et qu’elle ne va jamais faire la roue au balcon des Bouffes. Quand ils eurent forcé l’enceinte de ces palais … ils pardonnèrent à leurs prisonniers … ils pansèrent les blessés … Puis ils se dirent: ›Oh! qui chantera nos exploits, qui dira notre gloire et nos espérances?‹« La Marseillaise lc p 1 [U 7, 3]

Aus einer Replik auf eine unfreundliche Besprechung von Charles Pradiers Produktion (der dichterischen) durch die Revue de Paris: »Voilà trois ans que nous allons quotidiennement devant la foule, et vous croyez sans doute que nous avons fini par nous y accoutumer … Eh bien! vous vous trompez; chaque fois que nous sommes prêts à remonter sur notre trépied, nous hésitons; nous cherchons à transiger avec notre volonté; nous trouvons le temps trop mauvais, le passant trop rare, la rue trop bruyante; nous n’osons nous avouer que nous n’osons pas … Et maintenant comprenez-vous …, pourquoi nous nous exaltons parfois à la pensée de notre œuvre; … pourquoi, en nous voyant ainsi enthousiaste …, vous avez pu, vous et bien d’autres, croire à un orgueil impossible.« Ch. Pradier: Réponse à la Revue de Paris Le Bohême Charles Pradier, rédacteur en chef I, 8 10 juin 1855 Die Stelle ist äußerst bezeichnend für das ebenso biedere wie unsichere Auftreten des Blattes, das über den ersten Jahrgang nicht hinausgekommen ist. Bereits in der ersten Nummer grenzt es sich von der laxen, moralisch emanzipierten bohème ab und erinnert an die glaubensstarke von Michel Bradacz gegründete Hussitensekte der Frères Bohèmes, denen es in der Literatur eine Nachkommenschaft ins Leben rufen will. [U 7 a, 1]

Stilprobe aus der Zeitung »Le Bohême«: »Ce qui souffre cruellement dans les mansardes, c’est l’intelligence, c’est l’art, c’est la poésie, c’est l’âme!… - Car l’âme est un portefeuille qui ne renferme que des billets de banque du paradis, et les épiciers de ce monde cloueraient cette monnaie-là à leur comptoir comme une pièce tombée des mains d’un faux monnayeur.« Alexandre Guérin: Les Mansardes (Le Bohême I, 7 13 mai 1855) [U 7 a, 2]

Aus einer Auseinandersetzung der Unterschicht der Intelligenz mit der Führerschicht: »Vous, princes de la pensée, blasonnés de l’intelligence …, puisque vous nous avez reniés, nous avons abjuré votre paternité, dédaigné vos couronnes, récusé vos blasons; nous avons laissé les titres pompeux que vous cherchiez autrefois pour vos œuvres; nous ne sommes déjà plus l’Elan, l’Etoile ou le Feu follet, … mais nous sommes le Cadet-Roussel, le Sans le Sou, la Terre promise, l’Enfant terrible, le Paria dramatique ou le Bohême, et nous protestons ainsi … contre votre égoïste paternité.« Charles Pradier: Pères et fils (Le Bohême I, 5 29 avril 1855) [U 7 a, 3]

»Le Bohême« hat in der ersten Nummer den Untertitel »Journal non politique«. [U 8, 1]

»Faites-moi le plaisir de parcourir les tripots, les crèmeries qui avoisinent le Panthéon ou l’Ecole de Médecine: vous y trouverez … des poètes qui ne sont animés que par l’envie et toutes les plus basses passions, de prétendus martyrs de la sainte cause du progrès, qui … fument beaucoup de pipes … sans rien faire …; tandis que Piconel, dont vous avez cité les beaux vers, Piconel, le dessinateur sur étoffes, qui gagne 4 fr. 50 c. par jour pour nourrir huit personnes, est inscrit au bureau de bienfaisance!! … Je n’ai pas … la prétention paradoxale d’exalter les vanteries de M. Dumas père ou d’excuser l’indifférence de certains de ses amis à l’endroit des jeunes écrivains; mais je vous affirme que les plus grands ennemis des déshérités littéraires ne sont pas les écrivains en renom, les monopoliseurs du feuilleton quotidien, mais bien les faux déshérités, ceux qui ne font rien qu’injurier, boire, scandaliser les honnêtes gens, et tout cela au point de vu de l’art.« Eric Isoard: Les faux bohêmes (Le Bohême I, 6 6 mai 1855) [U 8, 2]

Es ist bezeichnend, daß der Boheme, der die Rechte des literarischen, mit dem industriellen einigermaßen sympathisierenden Proletariats wahrnimmt, in I, 5 unter dem Titel »Du roman en général et du romancier moderne en particulier« durch Paul Saulnier den Gebrauch der négriers geißelt. Monsieur de Santis, wie der Romancier in vogue genannt wird, kehrt nach einem müßig verbrachten Tag nach Hause zurück. »Arrivé chez lui, Monsieur de Santis s’enferme … et va ouvrir une petite porte effacée derrière sa bibliothèque. – Il se trouve alors dans un cabinet assez sale et fort mal éclairé. Il y a là, une longue plume d’oie à la main, les cheveux hérissés, un homme au visage sinistre et mielleux à la fois. – Oh! pour celui-là, il sent le romancier d’une lieue, quoique ce ne soit qu’un ancien employé du ministère qui a appris l’art de Balzac dans le feuilleton du Constitutionnel. C’est le véritable auteur de la Chambre des crânes! c’est le romancier!« [U 8, 3]

»1852 wurde von den Brüdern Péreire, zwei portugiesischen Juden, die erste moderne Großbank gegründet, der Crédit mobilier, von dem man sagte, er sei die größte Spielhölle Europas. Er machte wilde Spekulationen in allem: Eisenbahnen, Hotels, Kolonien, Kanälen, Bergwerken, Theatern und nach fünfzehn Jahren gänzlichen Bankerott.« Egon Friedell: Kulturgeschichte der Neuzeit III München 1931 p 187 [U 8 a, 1]

»Bohème est un mot du vocabulaire courant de 1840. Dans le langage d’alors, il est synonyme d’artiste ou d’étudiant, viveur, joyeux, insouciant du lendemain, paresseux et tapageur.« Gabriel Guillemot: Le Bohème Paris 1868 p 7/8 (cit bei Gisela Freund⁠〈: La photographie au point de vue sociologique Manuskript〉 p 60) [U 8 a, 2]

»Le roman-feuilleton fut inauguré en France par le Siècle en 1836. L’influence bienfaisante du roman-feuilleton sur les recettes du journal trouve sa démonstration dans le contrat que passaient Le Constitutionnel et La Presse en 1845 avec Alexandre Dumas … Celui-ci recevait un traitement annuel de 63 000 francs pendant 5 années pour une production minima de 18 vol., l’an.« Lavisse: Histoire de la monarchie de juillet IV Paris 1892 (cit ohne Stellenangabe bei Gisela Freund) [U 8 a, 3]

Ein Wort von Murger (cit bei Gisela Freund p 63): »La Bohème, c’est le stage de la vie artistique: c’est la préface de l’Académie, de l’Hôtel-Dieu ou de la Morgue«. [U 8 a, 4]

Gisela Freund betont (p 64) den Gegensatz zwischen der ersten Generation der bohême – Gautier, Nerval, Nanteuil – die vielfach soliden bürgerlichen Ursprungs war, und der zweiten: »Murger était fils d’un concierge tailleur; Champfleury était le fils d’un secrétaire de mairie de Laon; Barbara, fils d’un petit marchand de musique; Bouvin, fils d’un garde champêtre; Delvau, fils d’un tanneur du Faubourg St-Marcel, et Courbet était le fils d’un demi paysan.« – Dieser zweiten Generation gehörte Nadar – Sohn eines verarmten Verlegers – an. (Er war später längere Zeit Sekretär von Lesseps.) [U 8 a, 5]

»M. de Martignac a légué … un germe de mort aux journaux par sa loi de juillet 1828; loi plus libérale, mais qui, en rendant … les publications quotidiennes ou périodiques plus accessibles à tous, les greva de certaines conditions pécuniaires … Pour subvenir aux frais nouveaux, que ferons-nous? disaient les journaux. – Eh bien! vous ferez des annonces, leur répondit-on … Les conséquences de l’annonce furent rapides et infinies. On eut beau vouloir séparer dans le journal ce qui restait consciencieux et libre de ce qui devenait public et vénal: la limite … fut bientôt franchie. La réclame servit de pont. Comment condamner à deux doigts de distance … ce qui se proclamait deux doigts plus bas comme la merveille de l’époque? L’attraction des majuscules croissantes de l’annonce l’emporta: ce fut une montagne d’aimant qui fit mentir la boussole … Cette malheureuse annonce n’a pas eu une influence moins fatale sur la librairie … L’annonce constitue … un redoublement de frais …; mille francs d’annonces pour un ouvrage nouveau; aussi, à partir de là, les libraires ont-ils impitoyablement exigé des auteurs deux volumes au lieu d’un, et des volumes in-8° au lieu d’un format moindre; car cela ne coûte pas plus à annoncer … L’annonce … demanderait toute une histoire: Swift, d’un encre amer, l’aurait tracée.« Zu dem Wort réclame folgende Anmerkung: »Pour ceux qui l’ignorent, nous disons que la réclame est la petite note glissée vers la fin, à l’intérieur du journal, d’ordinaire payé par le libraire, insérée le même jour que l’annonce ou le lendemain, et donnant en deux mots un petit jugement flatteur qui prépare et préjuge celui de l’article.« Sainte-Beuve: De la littérature industrielle (Revue des deux mondes 1839 IXX, 4 p 682/3) [U 9, 1]

»Ce sera de moins en moins un trait distinctif que d’écrire et de faire imprimer. Avec nos mœurs électorales, industrielles, tout le monde, une fois au moins dans sa vie, aura eu sa page, son discours, son prospectus, son toast, sera auteur. De là à faire un feuilleton, il n’y a qu’un pas … De nos jours, d’ailleurs, qui donc peut se dire qu’il n’écrit pas un peu pour vivre …?« Sainte-Beuve: De la littérature industrielle (Revue des deux mondes 1839 IXX,4 p 681) [U 9, 2]

1860 und 1868 erschienen die beiden Bande der »Revues parisiennes Les journaux, les revues, les livres« von dem Baron Gaston de Flotte in Marseille und Paris, die es sich zur Aufgabe machen, gegen die Leichtfertigkeit und Gewissenlosigkeit der historischen Angaben in der Presse und zumal im Feuilleton zu kämpfen. Die Richtigstellungen beziehen sich auf Fakten der Kultur- Literatur- politischen Geschichte und Sage. [U 9, 3]

Es gab Feuilletonhonorare bis zu 2 francs die Zeile. Manche Autoren schrieben möglichst nur Dialoge, um an den unbedruckten Zeilenstücken zu gewinnen. [U 9 a, 1]

In seinem Aufsatz »De la littérature industrielle« behandelt Sainte-Beuve unter anderm die ersten Schritte der neugegründeten (ursprünglich vor allem gegen die belgischen Nachdrucke gerichteten) Société des gens de lettres. [U 9 a, 2]

»Senefelder hatte zunächst nur an die bequemere Vervielfältigung von Manuskripten gedacht und das hierauf zielende neue Verfahren in seinem 1818 erschienenen ›Vollständigen Lehrbuch der Steindruckerei‹ veröffentlicht. Andere exploitierten erst seine Idee zur Technik der Steinzeichnung. Sie ermöglichte eine Schnelligkeit der Aufzeichnung, die fast der des Wortes gleichkam …, sie war eine Journalistik der Zeichenfeder.« Egon Friedell: Kulturgeschichte der Neuzeit III München 1931 p 95 [U 9 a, 3]

Überblick über die revolutionäre Presse von Paris im Jahre 1848: Curiosités révolutionnaires Les journaux rouges Histoire critique de tous les journaux ultra-républicains par un Girondin Paris 1848 [U 9 a, 4]

»Il n’est qu’une manière d’écarter le choléra, c’est d’agir sur le moral des masses. Toute personne dont la situation morale est satisfaisante n’a rien à craindre du fléau … Il y a donc lieu aujourd’hui à provoquer chez les masses une excitation morale qui les élève … Il faut … des mesures extraordinaires … Il faut un coup d’état, un coup d’état industriel … Ce coup d’état consisterait à changer par ordonnance la loi d’expropriation, de manière à … réduire à très peu de jours les interminables lenteurs que prescrit la législation actuelle … On pourrait ainsi dans Paris commencer, par exemple, sur trente points la rue du Louvre à la Bastille, qui en assainira le plus sale quartier … On pourrait … commencer aux barrières les chemins de fer … L’ouverture des travaux … se ferait avec pompe et serait célébrée par des fêtes publiques. Tous les corps de l’état viendraient avec leurs insignes prêcher d’exemple. Le roi et sa famille, les ministres, le conseil d’état, la cour de cassation, la cour royale, ce qui reste des deux chambres, y apparaîtraient fréquemment et manieraient la pelle et la pioche. … Les régimens viendraient y faire leur service en grande tenue avec leur musique … des spectacles seraient échelonnés de distance en distance, et les meilleurs acteurs tiendraient à honneur d’y paraître. Les femmes les plus brillantes se mêleraient aux travailleurs pour les encourager. La population, devenue ainsi exaltée et fière, serait certainement invulnérable au choléra. L’industrie serait lancée; le gouvernement … serait … très-solide.« Michel Chevalier: Fin du choléra par un coup d’état Religion Saint-Simonienne [Paris 1832] Die Saint-Simonisten wollen gratis Medikamente abgeben. [U 9 a, 5]

»Celui qui fait le train omnibus aune pénible corvée: il part de Paris le matin à 7 heures, et il arrive à Strasbourg à minuit, cela fait 17 heures de service pendant lesquelles il doit descendre à toutes les gares sans exception, pour ouvrir les portes des voitures! … Or, l’employé qui est obligé de descendre à toutes les stations et de patauger dans la neige pendant 5 ou 6 minutes toutes les demi-heures pour ouvrir et fermer toutes les portes par un froid de 12 degrés et même davantage, doit souffrir cruellement.« A Granveau: L’ouvrier devant la société Paris 1868 p 27/28 (Les employés et le mouvement des chemins de fer) [U 10, 1]

Eine merkwürdige Apotheose des Reisenden – gewissermaßen ein Gegenstück zum »Voyage« Baudelaires im Bereiche der puren Banalität findet sich bei Benjamin Gastineau: La vie en chemin de fer Paris 1861. Der zweite Abschnitt des Buches p 65 heißt »Le voyageur du XIXe siècle⁠〈«〉. Er ist eine Apotheose des Reisenden, in dem sich auf die sonderbarste Weise die Züge des ewigen Juden mit denen eines Pioniers des Fortschritts durchdringen. Proben: »Partout sur sa route le voyageur a semé les richesses de son coeur et de son imagination; donnant à tous la bonne parole, … encourageant le travailleur, tirant de l’ornière l’ignorant … et relevant l’humilié.« (p 78) »La femme qui cherche l’amour divin, voyageuse! - L’homme qui cherche la femme fidèle, voyageur! – … Les artistes avides d’horizons nouveaux, voyageurs! – Les fous qui prennent leurs hallucinations pour la réalité, voyageurs! – … Coureurs de gloire, trouvères de la pensée, voyageurs! – La vie est un voyage, et tout être qui sort du sein de la femme pour rentrer dans le sein de la terre est un voyageur.« (p 79-81) »Humanité, c’est toi qui es l’éternel voyageur.« (p 84) [U 10, 2]

Stelle aus Benjamin Gastineau: La vie en chemin de fer Paris 1861: »Tout à coup, la toile s’abaisse brutalement sur le soleil, sur la beauté, sur les mille tableaux de la nature et de la vie dont votre pensée et votre coeur ont joui au passage; c’est la nuit, c’est la mort, c’est le cimetière, c’est le despotisme, c’est le tunnel; que d’êtres pourtant ne sortent pas de ces ténèbres, ne voient jamais l’aile blanche de la liberté et de la vérité! … Cependant, à entendre les cris de répulsion et d’effroi des voyageurs et voyageuses du convoi en entrant sous la sombre voûte, leurs exclamations de joie en quittant le tunnel … qui oserait affirmer que la créature humaine n’a pas été faite pour la lumière et pour la liberté?« (p 37/38) [U 10, 3]

Stellen aus Benjamin Gastineau »La vie en chemin de fer« Paris 1861: »Salut à vous, belles races de l’avenir enfantées par le chemin de fer!« (p 112) »En wagon! en wagon! le coup de sifflet a retenti aigu sous les voûtes sonores de la gare.« (p 18) »Avant la création des chemins de fer, la nature ne palpitait plus; c’était une Belle-au-bois-dormant …; les cieux mêmes paraissaient immuables. Le chemin de fer a tout animé … Le ciel est devenu un infini agissant, la nature une beauté en action. Le Christ s’est détaché de sa croix, il a marché et il a laissé bien loin derrière lui, sur la route, le vieil Ahasvérus.« (p 50) [U 10 a, 1]

»Michel Chevalier plaisait aux élèves [der Ecole Polytechnique] par-dessus tout quand il retraçait les grandes époques historiques, revenant souvent sur Alexandre, César, Charlemagne, Napoléon, pour marquer la place des inventeurs et des conquérants organisateurs.« G Pinet: Histoire de l’Ecole polytechnique Paris 1887p 205 [U 10 a, 2]

»Les disciples de Saint-Simon … recrutés pour la plupart à l’Ecole des mines, c’est-à-dire parmi les meilleurs élèves de l’Ecole polytechnique … ne devaient pas manquer d’exercer une influence considérable sur leurs jeunes camarades … Toutefois le Saint-Simonisme n’eut pas le temps de faire beaucoup de prosélytes à l’Ecole polytechnique. Le schisme de 1831 lui avait porté un coup fatal, les folies de Ménilmontant, les costumes bizarres, les dénominations ridicules l’avaient tué.« G Pinet: Histoire de l’Ecole polytechnique p 204/05 [U 10 a, 3]

Der Gedanke des Suezkanals geht auf Enfantin zurück, der sich beim Vizekönig von Ägypten, Mehemed Ali, um eine Konzession beworben hatte und mit 40 Schülern heruntergehen wollte. England bewirkte, daß ihm die Konzession verweigert wurde. [U 10 a, 4]

»Saint-Simon cherchait à foncier une association pour profiter des facilités données par le decret … du 2 novembre 1789, pour l’aquisition des domaines nationaux dont le prix était payable en douze annuités au moyen d’assignats, ce qui permettait, avec de modestes capitaux, d’acquérir une masse importante de biens ruraux … ›Toute spéculation financière est fondée sur une mise d’industrie et une mise de fonds. Les bénéfices d’une spéculation financière doivent être partagés de manière que l’industrie et les capitaux aient une part proportionnée à l’influence qu’ils ont exercée; dans la spéculation que j’ai faite avec M. de Redern les capitaux n’ont joué qu’un rôle secondaires.‹« Die zitierte Stelle ist aus einem Brief des Saint-Simon an Boissy-d’Anglas vom 2 Nov. 1807; man findet in ihr seine Theorie über das Verhältnis von Kapital, Arbeit und Talent angedeutet, Maxime Leroy: Les spéculations foncières de Saint-Simon et ses querelles d’affaires avec son associé, le comte de Redern Paris 〈1925〉 2 et 23 [U 11, 1]

»Saint-Simon croit à la science … Mais alors qu’au début de ses recherches, les sciences mathématiques et physiques … avaient presque seules retenu son attention, c’est aux sciences de la nature qu’il va demander maintenant le secret des certitudes sociales, dont il a l’inquiétude. ›Je m’éloignai en 1801 de l’Ecole Polytechnique, écrit-il, je m’établis près de celle de Médecine: j’entrai en rapport avec les physiologistes.‹« Maxime Leroy: La vie véritable du comte Henri de Saint-Simon Paris 1925 p 192/193 – Die Ecole Polytechnique war zur Zeit, da Saint-Simon in ihrer Nähe lebte, im Palais Bourbon. [U 11, 2]

»Le nef du Grand Café Parisien« heißt es unter einer Gravure von 1856. In der Tat ähnelt der Anblick des Publikums dem in einem Kirchenschiff oder in einer Passage. Die Mehrzahl der Besucher steht oder schlendert herum, und zwar zwischen den Billardtischen, die im nef untergebracht sind. [U 11, 3]

Hubbard sagt – mit problematischem Recht bezugnehmend auf Saint-Simons Tränen beim Abschied von seiner Frau aus Anlaß der Scheidung: »Immolation perpétuelle de l’être affectueux et sensible à l’être intelligent et pensant.« cit Maxime Leroy: La vie véritable du comte Henri de Saint-Simon Paris 1925 p 211 [U 11, 4]

»Plus d’honneurs pour les Alexandre; vivent les Archimède!« Saint-Simon cit Leroy 〈lc〉 p220 [U 11, 5]

Comte hat vier Jahre lang bei Saint-Simon gearbeitet. [U 11, 6]

Eugène Sues »Juif errant« im Constitutionnel als Ersatz für die von Véron ursprünglich don geplante Veröffentlichung von Thiers Histoire du Consulat et de l’Empire. [U 11, 7]

Saint-Simon: Considérations sur les mesures à prendre pour terminer la Révolution. – Introduction aux travaux scientifiques du XIXe siècle. [U 11 a, 1]

Saint-Simon erfindet revolutionäre Spielkarten: 4 Génies (Krieg, Frieden, Kunst, Handel) als Könige; 4 Libertés (Religion, Heirat, Presse, Beruf) als Damen, 4 Egalités (Pflichten, Rechte, Würden, Farben) als Buben. Leroy⁠〈: La vie véritable du comte Henri de Saint-Simon Paris 1925〉 p 174 [U 11 a, 2]

Saint-Simon stirbt im Mai 1825. Seine letzten Worte: »Nous tenons notre affaire.« Leroy 〈lc〉 p 328 [U 11 a, 3]

Über Saint-Simon: »Tandis qu’il nous étonne par toutes ces prévisions ouvrières et sociales, il nous donne pourtant l’impression qu’il lui a manqué quelque chose: … un milieu, son milieu, le milieu prolongeant le XVIIIe siècle dans sa ligne d’optimisme. Homme d’avenir, il a dû penser presque seul dans une société décapitée par la Révolution de ses pairs … Où est Lavoisier, fondateur de la science expérimentale moderne? Où est Condorcet, son philosophe et Chénier, son poète? Ils vivraient peut-être si Robespierre ne les avait pas fait guillotiner. Saint-Simon a dû assurer, sans leur aide, le dur travail d’organisation qu’ils avaient commencé; et devant suffire seul à cette tâche immense … il a été obligé d’entreprendre trop de tâches, d’être tout à la fois le poète, l’expérimentateur et le philosophe des temps nouveaux.« Maxime Leroy: La vie véritable du comte Henri de Saint-Simon Paris 1925 p 321/22 [U 11 a, 4]

Eine Lithographie von Pattel stellt »La gravure aux prises avec la lithographie« dar. Letztere scheint siegreich zu bleiben. C⁠〈abinet〉 d⁠〈es〉 E⁠〈stampes〉 [U 11 a, 5]

Eine Lithographie von 1842 stellt den »Divan des Algériennes à Paris« des »Café des Mauresques« dar. Im Hintergrunde eines Caféhauses, in dem sich neben Europäern Exoten bewegen, sitzen auf einem winzigen Diwan eng aneinander gedrückt drei Odalisken unter einem Spiegel und beschäftigen sich mit Wasserpfeifen. C⁠〈abinet〉 d⁠〈es〉 E⁠〈stampes〉 [U 11 a, 6]

Die Graphiken von 1830 stellen gern, und oft allegorisch den Streit der Zeitungen miteinander vor. Sie lieben, im gleichen Zeitraum, die Zeitung darzustellen, in deren Lektüre viele sich teilen müssen. Sie stellen auch den Streit dar, der so entsteht, sei es um den Besitz des Blattes, sei es wegen der von ihm vertretnen Meinungen. C⁠〈abinet〉 d⁠〈es〉 E⁠〈stampes〉 ein Blatt von 1817: »L’amour des nouvelles ou la Politicomanie«. [U 11, 7]

»A la Bourse, un saint-simonien vaut deux juifs.« Paris-Boursier (Les Petits-Paris par les auteurs des mémoires de Bilboquet) [Taxile Delord] Paris 1854 p 54 [U 12, 1]

Ein ungemein kennzeichnendes Wort für die Blütezeit des Boulevardjournalismus. »Qu’entendez-vous par le mot esprit? – J’entends quelque chose qui court, dit-on, les rues, mais qui entre fort rarement dans les maisons.« Louis Lurine: Le treizième arrondissement de Paris Paris 1850 p 192 [U 12, 2]

Der Gedanke, Zeitungsinserate nicht nur der Verbreitung von Büchern sondern von industriellen Artikeln dienstbar zu machen, stammt von dem Docteur Véron, der auf diese Weise mit seiner pâte de Regnauld, einem Schnupfenmittel, so gute Geschäfte machte, daß aus einer Einlage von 17 000 frcs für ihn eine Rente von 100 000 wurde. »On peut donc dire … que si c’est un médecin, Théophraste Renaudot, qui a créé le journalisme en France …, c’est le docteur Véron qui, il y a bientôt un demi-siècle, a créé la publicité de la quatrième page des journaux.« Joseph D’Arçay: La salle à manger du docteur Véron Paris 1868 p 104 [U 12, 3]

Die »Emanzipation des Fleisches« bei Enfantin ist mit den Thesen Feuerbachs und den Einsichten Georg Büchners zu vergleichen. Der dialektische Materialismus schließt den anthropologischen ein. [U 12, 4]

Villemessant⁠〈:〉 »Anfangs betrieb er einen Handel mit Bändern. Von diesem Geschäft … kam der … junge Mann zur Gründung einer Modezeitung … Villemessant … kam von da bald zur Politik, schloß sich der legitimistischen Partei an und bildete sich nach der Revolution von 1848 zu einem satirischen Zeitungsschreiber aus. Nacheinander rief er drei verschiedene Blätter ins Leben, darunter die ›Chronik von Paris‹, die 1852 vom Kaisertum unterdrückt wurde. Zwei Jahre später gründete er den ›Figaro‹.« Egon Caesar Conte Corti: Der Zauberer von Homburg und Monte Carlo Leipzig 〈1932〉 p 238/239 [U 12, 5]

François Blanc war einer der ersten großen Inserenten. Durch Preßagenten hatte er für die Homburger Spielbank Inserate im »Siècle« und der »Assemblée nationale« untergebracht. »Er placierte auch noch persönlich ganze Serien von achtzehn, ja fünfzig Annoncen in Zeitungen … wie der ›Presse‹, dem ›National‹, der ›Patrie‹ und dem ›Galignani‹.« Egon Caesar Conte Corti: Der Zauberer von Homburg und Monte Carlo Leipzig p 97 [U 12, 6]

Zur Zeit von Saint-Simon: »Indépendamment de la Nouvelle-Jérusalem, d’Emmanuel Swedenborg, professée par le baron Portal … il y avait le phalanstère de Charles Fourier; il y avait aussi la prétendue Eglise française de l’abbé Châtel, primat des Gaules; il y avait la restauration de l’Ordre des Templiers, organisée par M. Fabré-Palaprat; il y avait le culte de l’Evadamisme, inventé par le Mapah.« Philibert Audebrand: Michel Chevalier 〈Paris 1861〉 p 4 [U 12, 7]

Saintsimonistische Propaganda. »Un des adeptes de la doctrine à qui l’on demandait un jour quelles étaient ses fonctions, répondait: – Je suis homme de salon, orateur mondain. On m’habille avec élégance pour que je puisse me présenter partout; on me met de l’or dans ma bourse pour que je sois à même de jouer au whist. Comment ne réussirai-je pas?« Philibert Audebrand: Michel Chevalier p 6 [U 12 a, 1]

Die saintsimonistische Spaltung zwang die Anhänger der Doktrin zwischen Bazard und Enfantin zu wählen. [U 12 a, 2]

In Ménilmontant übernahmen die Angehörigen der saintsimonistischen Sekte die verschiednen hauswirtschaftlichen Departements: Küche (Simon und Rochette), Geschirr (Talebot), Abwaschen (d’Eichtel, Lambert), Schuhputzen (Barrault). [U 12 a, 3]

Die Saintsimonisten in Ménilmontant: »Un grand musicien de l’avenir, M. Félicien David, l’auteur du Désert, de la Perle du Brésil et d’Herculanum, avait la direction de leur orchestre; il composait les mélodies qu’ils chantaient …, notamment celles qui précédaient et qui suivaient les repas.« Philibert Audebrand: Michel Chevalier 〈Paris 1861〉 p 11 [U 12 a, 4]

Allgemeines Cölibat bis zur eventuellen Heirat von Enfantin war ein Gesetz für Ménilmontant. [U 12 a, 5]

Chevalier wurde von Thiers nach der Auflösung von Ménilmontant und nachdem er zu einem Jahr Gefängnis verurteilt worden war, nach Amerika geschickt. Thiers ist es auch, der ihn später nach England schickt. Nach der Februarrevolution, die ihm seine Positionen nimmt, wird er Reaktionär. Unter Napoleon wird er Senator. [U 12 a, 6]

Ende der fünfziger Jahre hatte »Le siècle« mit 36 000 die größte Auflage. – Milland gründet das Petit Journal, das er für einen sou verkauft. [U 12 a, 7]

Balzac über Aux artistes. Du passé et de l’Avenir des Beaux-Arts (Doctrine de Saint-Simon) Paris Mesnier: »L’apostolat est une mission d’artiste et l’auteur de la brochure ne s’est pas montré digne de ce caractère imposant. La pensée sommaire de son travail est vaste, le résultat en est petit … Saint-Simon était un homme remarquable, qu’on n’a pas encore compris; il importe donc aux chefs de l’école d’entrer dans la voie [du] prosélytisme en parlant, comme le Christ, un langage approprié au temps et aux hommes, de moins raisonner et d’émouvoir davantage.« Mit Beziehung auf Saint-Simon ebd.: »La vérité est peut-être là.« Honoré de Balzac critique littéraire éd Louis Lumet Paris 1912 p 58, 60 (Le Feuilleton des journaux politiques) [U 12 a, 8]

Den Anlaß zum Schisma unter den Saint-Simonisten bildete Enfantins Lehre von der Emanzipation des Fleisches. Es kam hinzu, daß andere, wie Pierre Leroux, schon vorher Anstoß an der öffentlichen Beichte genommen hatten. [U 13, 1]

Die Saint-Simonisten hatten für die Demokratie nur geringe Sympathien. [U 13, 2]

Die Presse unter Charles X: »Les journaux ne se vendaient pas au numéro; ils n’étaient lus que par les abonnés et l’abonnement coûtait cher; c’était un luxe réservé en fait à la noblesse et à la haute bourgeoisie. Le total des exemplaires ne s’élevait en 1824 qu’à cinquante-six mille (dont quarante et un mille pour les journaux de l’opposition).⁠〈«〉 Charles Seignobos: Histoire sincère de la nation française Paris 1933 p 411/12 Im übrigen mußten die Zeitungen hohe Kautionen stellen. [U 13, 3]

Girardin führt als Herausgeber der Presse Nummernverkauf, Inserate und Feuilleton ein. [U 13, 4]

»Les marchands de journaux ont beaucoup de mal à se les procurer: pour avoir leur tour, ils sont obligés de faire la queue pendant une partie de la nuit, en pleine rue.« Paris sous la République de 1848 Exposition de la Bibliothèque et des Travaux historiques de la Ville de Paris 1909 p 43 [U 13, 5]

Um 1848 kommt das Café chantant auf; Morel begründet es. [U 13, 6]

Bilderbogen: Occupations des dames St.-Simoniennes selon leurs capacités (Imagerie populaire 1832⁠〈)〉 Buntdrucke, in denen rot, grün und gelb überwiegen: »Dame St-Simonienne prêchant la doctrine« »Ce bouquet ne peut être trop beau pour notre frère« »St-Simonienne rêvant de la chasse« usw. Abb⁠〈ildungen〉 Henry-René d’Allemagne: Les Saint-Simoniens 1827-1837 Paris 1930 gegenüber p 228 Pendant dazu: Fonctions des apôtres de Menil-Montant selon leur capacité (Abb lc gegenüber p 392) Vgl hierzu (lc gegenüber von p 296: Etiquette pour le lancement d’un produit d’alimentation: »Liqueur des St.-Simonniens«: Eine Gruppe von Schülern Enfantins, in deren Mitte Enfantin und die eine Trikolore schwingende Republik. Alle heben die Gläser.) [U 13, 7]

1831 verweigern Bazard, Chevalier und einige andere als Angehörige des »clergé« der église St-Simonienne in der Garde Nationale Dienst zu tun. 24 Stunden Gefängnis. [U 13, 8]

Der Globe (31 octobre 1831) anläßlich des Aufstandes von Lyon, der wie er meint bei einer Erhöhung der Löhne die dortige Industrie in Frage stellen könne: »Ne voyez-vous point qu’alors même qu’une intervention directe dans les affaires de l’industrie … vous est imposée … vous ne pouvez calmer passagèrement les souffrances d’une des classes de la société sans peut-être opprimer d’autres classes? Qu’on vante maintenant les bienfaits de la concurrence, le laissez-faire … que les orateurs libéraux viennent encore proclamer.« HR d’Allemagne: Les Saint-Simoniens Paris 1930 p 140 [U 13, 9]

Die Saint-Simonisten: eine Heilsarmée in der Bourgeoisie. [U 13 a, 1]

Chevalier an Hoart et Bruneau, 5 nov⁠〈embre〉 1832: »Ecoutez cette voix de Lyon! Lyon vous appelle, nous appelle en mugissant. Lyon craque. Lyon frémit. Que d’énergie chez ces prolétaires! Quelle humanité de Spartacus!« Henry-René d’Allemagne: Les Saint-Simoniens 1827-1837 〈Paris 1930〉 p 325 [U 13 a, 2]

Verräterrisch:

»Ce peuple, dont on craint et la tête et le bras,
Faites-le donc marcher sans cesse!
C’est quand vous arrêtez ses pas,
Qu’il s’aperçoit que son soulier le blesse.«

Léon Halévy: Fables nouvelles. La chaussure Paris 1855 p 133 (cit de Liefde: Le Saint-Simonisme dans la poésie française 〈Haarlem 1927〉 p 70) [U 13 a, 3]

»Les sapeurs de l’armée pacifique« – ein saint-simonistisches Wort für die Gesamtheit der Arbeiterschaft. [U 13 a, 4]

Ein Stück aus Pierre Lachambeaudie’s Fables et poésies diverses Paris 1851 »La fumée«: der Rauch des Hüttenwerks und der Weihrauch begegnen sich in der Luft und vereinigen sich auf Gottes Geheiß. Diese Poesie zieht sich weiter bis zu Du Camps Gedicht auf die Lokomotive mit ihrer fumée sainte. [U 13 a, 5]

Der Globe wurde – mindestens zeitweise – umsonst in Paris verbreitet. [U 13 a, 6]

»L’élément féminin et masculin qu’on trouve en Dieu et qu’on veut aussi faire revivre dans le couple des prêtres, n’a pas été chanté dans la poésie de la secte. Nous n’avons trouvé qu’une seule allusion à ces dogmes …:

»Dieu bonne et bon. Ce monde est sans croyance;
Il doute encore: le Père est prisonnier!
La Mère, oh Dieu! sera la providence
Qu’en son bonheur il ne pourra nier!«

(Jules Mercier: Dieu nous le rendra dans La foi nouvelle p 15) CL de Liefde: Le Saint-Simonisme dans la poésie française 〈Haarlem 1927〉 p 146/147 [U 13 a, 7]

George Sand, die die Einheit der Klassen durch die Liebe heraufgeführt sieht, versteht das in folgendem Sinne: »Un jeune homme de basse condition, mais génial et beau, s’unit à une belle, noble et parfaite jeune fille: et voilà les classes fondues … Lémor, du Meunier d’Angibault, héroïque artisan, refuse la main d’une veuve patricienne, parce qu’elle est riche … et la veuve se réjouit de l’incendie qui la ruine et fait tomber le dernier obstacle entre elle et son amant.« Charles Brun: Le roman social en France au XIXe siècle Paris 1910 p 96/97 [U 13 a, 8]

Enfantin setzte ganz verschiedne Körperkonstitution (auch Krankheiten) bei Priestern, Künstlern, Kaufleuten usw. voraus. [U 13 a, 9]

Stil von Girardin: »L’alinéa à chaque phrase, chaque phrase n’étant que d’un mot; l’antithèse des idées enveloppée dans la similitude des mots; la rime en prose …; la majuscule à tous les substantifs, l’énumération qui rappelle Rabelais, la définition qui ne rappelle souvent rien du tout.« Edouard Drumont: Les héros et les pitres Paris 〈1900〉 p 131 (Emile de Girardin) [U 14, 1]

Drumont über Girardin: »Pour arriver à ce résultat d’être oublié huit jours après sa mon, il s’est levé toute sa vie à cinq heures du matin.« Edouard Drumont: Les héros et les pitres Paris p 134/135 (Emile de Girardin) [U 14, 2]

Man will berechnet haben, daß die Saint-Simonisten von 1830 bis 1832 18 000 000 Druckseiten unter die Leute gebracht haben. (vgl Ch Benoist: L’homme de 1848 Rev⁠〈ue〉 des deux mondes 1 juillet 1913) [U 14, 3]

Mit ihrer lehrhaften Kontrastierung von Arbeitsbienen und Drohnen führen die Saint-Simonisten bis auf Mandevilles Bienenfabel zurück. [U 14, 4]

Zur Bewegung im Saint-Simonismus: aus den von Claire Démar und Perret Désessarts an Lambert vor dem gemeinsamen Selbstmord hinterlassnen Briefen. Claire Démar: »Mais si sa voix ne m’a pas entraîné, si ce n’est pas lui qui est venu me convier à cette dernière fête, du moins je n’ai pas hâté son voyage: depuis long-temps il était prêt.« Désessarts: »La fonction et le fonctionnaire s’éteignent en même temps, nous l’avons répété souvent; car l’un ne peut manquer à l’autre! Eh bien! moi, qui fus toujours l’homme de la lutte et de la solitude, moi qui ai toujours marché seul à l’écart … protestation vivante contre l’ordre et l’union; qu’y aurait-il d’étonnant que je me retire, peut-être à l’instant où les peuples vont s’unir d’un lien religieux, quand leurs mains vont se rapprocher pour former cette auguste chaîne … Lambert, je ne doute pas de l’humanité … ne doute pas de la Providence non plus … mais dans les temps où nous vivons tout est saint, même le suicide! … Malheur à qui ne se découvrirait pas devant nos cadavres, car celui-là est impie! Adieu. 3 août 1833, 10 heures du soir.« Claire Démar: Ma loi d’avenir Ouvrage posthume publié par Suzanne Paris Au Bureau de la tribune des femmes et chez tous les marchands de nouveautés 1834 p 8, 10/11 [U 14, 5]

Statistik der jährlichen Zeitungs- Monats- und Halbmonatsschriften, die nur die Neugründungen einbegreift:

1833 – 251
1834 – 180
1835 – 165
1836 – 151
1837 – 158

journaux.
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1838 – 184
1840 – 146
1841 – 166
1842 – 214
1845 – 185

journaux.
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Charles Louandre: Statistique littéraire De la production intellectuelle en France depuis quinze ans (Revue des deux mondes 1 novembre 1847 p 442⁠〈)〉 [U 14, 6]

Toussenel behauptet von Enfantin, er habe sich⁠〈,〉 um die Verurteilung vor Gericht wieder gut zu machen und sich über das Versagen seiner Faszination bei dieser Gelegenheit zu trösten, auf die Spekulation gelegt. Im übrigen gibt er von ihm folgendes Porträt: »Il y eut un homme semblable aux immortels et nommé Enfantin, non moins célèbre par la puissance de ses effets de queue au noble jeu de billard, que par la fréquence et la distinction de ses parolis à la chasse, et qui, sur la foi de quelques créatures charmantes …, se posa comme possédant au grand complet le physique de l’emploi pivotal, et se fit acclamer le Père … Et comme on était au lendemain des glorieuses … cet homme eut des adeptes.« A Toussenel: Les juifs rois de l’époque (Troisième édition) ed Gabriel de Gonet Paris 〈1886〉 I p 127 [U 14 a, 1]

Bei den Choleraepidemien bezichtigten die Leute die Spirituosenhändler der Schuld an der Infektion. [U 14 a, 2]

Das Journal des Débats führt den ausländischen Berichterstatter ein: »Depuis que M. Bertin a fait donner à M. Michel Chevalier une mission gouvernementale aux Etats-Unis, laquelle a valu à son journal la publication des fameuses Lettres sur l’Amérique du Nord, il a pris goût à ces missions dont le gouvernement fait les frais … Après les Lettres sur l’Amérique du Nord … sont venues les Lettres sur l’Espagne …; puis devaient venir les Lettres sur la Chine.« A Toussenel: Les juifs rois de l’époque Paris II p 12/13 [U 14 a, 3]

Die Saint-Simonisten erwarteten einen weiblichen Messias (la Mère), die sich mit dem Oberpriester, dem Père vereinigen sollte. [U 14 a, 4]

»Le père Olinde: ›… Si vous êtes Saint-Simonienne, sachez bien que ce n’est pas la république que nous voulons.‹« Firmin Maillard: La légende de la femme émancipée Paris p 111 [U 14 a, 5]

Heine widmete Enfantin »Deutschland«. Enfantin schrieb ihm darauf einen Brief, der von Duguet in einem Sonderdruck »Heine à Prosper Enfantin, en Egypte« – auf dem Umschlag »De l’Allemagne« – 8° M. Pièce. 3319 〈Cote der Bibliothèque Nationale〉 – 1835 veröffentlicht wurde. Der Brief ermahnt Heine, seinen Sarkasmus, vor allem in religiösen Dingen zu mäßigen. Heine solle kein Buch über den deutschen Gedanken sondern über die – von Enfantin im wesentlichen als Idylle betrachtete – deutsche Wirklichkeit schreiben, über das Herz Deutschlands. [U 14 a, 6]

Die Bekehrung von Julie Fanfernot zum Saint-Simonismus – sie wandte sich später dem Fourierismus zu – ist von Saint-Simonisten dramatisch bearbeitet worden. Proben aus dieser Publikation, die im Journal der Gruppe erschien, bringt Firmin Maillard: La légende de la femme émancipée Paris p 115ff [U 15, 1]

Saint-Simon in der rue Vivienne: »Dîners et soirées libres se succédaient sans interruption, … il s’y ajoutait sur le tard des scènes d’ébauchements amoureux où quelques invités, dit-on, … se laissaient aller à des transports anacréontiques que du fond de son fauteuil, calme, impassible, ne prenant même point part à la conversation, Saint-Simon regardait …, prenant bonne note du tout et se préparant de transformer le genre humain.« Firmin Maillard: La légende de la femme émancipée Paris p 27 [U 15, 2]

Von der femme-Messie, die, nach Duveyrier, aus der Prostitution ebensogut wie aus irgend einem andern Stande hervorzugehn fähig war, meinten viele, sie müsse aus dem Orient (Konstantinopel) hervorgehen. Barrault und zwölf Gefährten brachen daher nach Konst⁠〈ant〉⁠inopel auf, um »die Mutter« zu suchen. [U 15, 3]

Zum Schisma der Saint-Simonisten: »Bazard … avait été frappé à mort à la suite de la fameuse confession générale où il apprit de sa femme elle-même que, malgré toute la sympathie … qu’elle avait pour lui, elle ne Pavait jamais vu s’approcher d’elle sans ressentir une répugnance instinctive. C’est Hercule enchaîné, avait dit quelqu’un en le voyant foudroyé par l’apoplexie.« Firmin Maillard: La légende de la femme émancipée Paris p 35 [U 15, 4]

»On connaît la retraite de Ménilmontant; … là ils vivaient en célibataires pour montrer que leurs idées sur le mariage et sur l’émancipation des femmes n’étaient point le résultat d’un calcul épicurien.« Firmin Maillard: La légende de la femme émancipée Paris p 40 [U 15, 5]

Proudhon war ein heftiger Gegner des Saint-Simonismus; er spricht von »pourriture saint-simonienne«. [U 15, 6]

»Les arts ne peuvent fleurir qu’à la condition d’une époque organique, et l’inspiration n’est puissante et salutaire que lorsqu’elle est sociale et religieuse.« So wendet sich E Barrault: Aux artistes Du passé et de l’avenir des beaux-arts Paris 1830 p 73 gegen die unfruchtbaren »époques critiques«. [U 15, 7]

Letzter Nachhall der Ursprungsgedanken des Saint-Simonismus: »On peut comparer le zèle et l’ardeur que déploient aujourd’hui les nations civilisées pour l’établissement des chemins de fer avec ce qui se passait, il y a quelques siècles, pour l’érection des églises … Si, comme on l’assure, le mot de religion vient de religare …, les chemins de fer ont plus de rapports qu’on ne le pense avec l’esprit religieux. Jamais il n’exista un instrument d’autant de puissance pour … relier les peuples épars.« Michel Chevalier: Chemins de fer Extrait du Dictionnaire de l’économie politique Paris 1852 p 20 [U 15 a, 1]

»Le gouvernement voulait faire les chemins de fer lui-même; ce système offrait certainement des inconvénients … mais enfin c’était une solution qui nous eût donné les chemins de fer. A cette proposition, grande explosion; les rivalités politiques s’en mêlèrent. La science elle même … vint donner son appui à l’esprit d’opposition systématique. Un savant illustre eut la faiblesse de prêter l’autorité de son nom à ce complot ourdi contre les chemins de fer. L’exécution par l’Etat fut repoussée à une majorité immense. Cela se passait en 1838. De bonne composition qu’il était, le gouvernement se retourna vers l’industrie privée. Prenez, lui dit-il, ces voies merveilleuses, je vous en offre la concession. A ces mots, nouvel orage. Quoi! les banquiers, les capitalistes, vont s’enrichir de ces entreprises! … C’est la féodalité qui renaît de ses cendres. – Les projets de concession à des compagnies furent donc écartés … ou hérissés de clauses qui en rendaient l’acceptation impossible à des actionnaires sérieux. Nous allâmes ainsi jusqu’en 1844.« Michel Chevalier: Chemins de fer Extrait du dictionnaire de l’économie politique Paris 1852 p 100 [U 15 a, 2]

Schon Chevalier stellt für die Kriegstransporte in Eisenbahnwaggons die Gleichung auf: 40 Mann gleich 6 Pferde. (s. Michel Chevalier: Chemins de fer Extrait du dictionnaire de l’économie politique Paris 1852 p 47/48⁠〈)〉 [U 15 a, 3]

Kunsttheorie des Saint-Simonisme. Sie beruht auf der Einteilung der Geschichte »en époques Organiques ou religieuses, et en époques Critiques ou irréligieuses … La série historique que ce travail embrasse présente deux époques organiques: la première constituée sous l’empire du polythéisme grec, la seconde sous celui du christianisme; et, à la suite de ces époques organiques, deux époques critiques, dont l’une s’étend depuis Père philosophique des Grecs jusqu’ à l’avènement du christianisme, et l’autre depuis la fin du quinzième siècle jusqu’ à nos jours.« [E. Barrault] Aux artistes Du passé et de l’avenir des beaux-arts Paris 1830 p 6 [U 15 a, 4]

Die Universalgeschichte erscheint bei dem Saintsimonisten Barrault als das neue Kunstwerk. »Osez donc comparer les derniers auteurs tragiques ou comiques de Rome avec les orateurs chrétiens commençant leurs éloquentes prédications! Non, Corneille, Racine, Voltaire, Molière, ne renaîtront plus; le génie dramatique a rempli sa mission … Enfin le roman périra également dans ce qu’il a de commun avec ces deux genres et dans ses rapports avec l’histoire, dont il est la mensongère contrefaçon … L’histoire, en effet, reprendra un charme puissant …; ce ne sera plus seulement l’histoire d’un petit peuple de l’Orient qui sera sacrée; celle du monde entier méritera ce nom, et deviendra une véritable épopée dont l’histoire de chaque nation formera un chant, celle de chaque grand homme un épisode.« [E Barrault] Aux artistes Du passé et de l’avenir des beaux-arts Paris 1830 p 81/82 Das Epos: der organischen Epoche, Roman u⁠〈nd〉 Drama der kritischen eigen. [U 16, 1]

Barrault hat schon eine vage Vorstellung von der Bedeutung säkularisierter kultischer Elemente für die Kunst, wiewohl er den Akzent auf die kultisch gebundnen Epochen setzt. »Quoiqu’il n’ait point existé en Grèce une organisation de caste religieuse pareille à celle de l’Orient, son épopée n’en constitue pas moins une première séparation du culte et de la poésie … si l’orthodoxie se prolonge dans les époques critiques, le cours de ces époques remonte sourdement jusqu’au sein de l’orthodoxie.« [E Barrault] Aux artistes Du passé et de l’avenir des beaux-arts Paris 1830 p 25/26 [U 16, 2]

Saint-Simon weist mit Genugtuung darauf hin, daß gerade diejenigen Männer, die die Menschheit entscheidend gefördert hätten – Luther, Bacon, Descartes – Passionen gehabt hätten. Luther: Tafelfreuden; Bacon: Geld; Descartes: Weiber und Spiel, cf E R Curtius: Balzac 〈Bonn 1923〉 p 117 [U 16, 3]

Mit Beziehung auf Guizot, dessen Schrift »Du gouvernement de la France et du ministère actuel« Paris 1820 den Aufstieg der Bourgeoisie als den jahrhundertelangen Kampf einer Klasse darstellt (seine Schrift »De la démocratie« Paris 1849 sieht allerdings im Klassenkampf, der inzwischen einer zwischen Bourgeoisie und Proletariat geworden ist, nur noch ein Elend) behauptet Plechanow von den Anschauung⁠〈en〉 der sozialistischen Utopisten, daß sie »theoretisch wie praktisch einen großen Rückschritt« darstellen. »Die Ursache davon lag in der schwachen Entwicklung des damaligen Proletariats.« Georg Plechanow: Über die Anfänge der Lehre vom Klassenkampf [Die Neue Zeit Stuttgart 1903 XXI, 1 p 296〈][U 16, 4]

Augustin Thierry, ein »Pflegesohn« von Saint-Simon. Er hat, nach Marx, »hübsch dargestellt, … wie von vornherein, wenigstens seit Heraufgekommensein der Städte, die französische Bourgeoisie zu sehr dadurch Einfluß gewinnt, daß sie sich als Parlament, Bürokratie etc. konstituiert, und nicht wie in England durch bloßen Handel und Industrie«. Karl Marx an Friedrich Engels London 27 Juli 1854 [Karl Marx/Friedrich Engels: Ausgewählte Briefe hg v V Adoratskij Moskau Leningrad 1934 p 60][U 16 a, 1]

Nachwirkungen des Saint-Simonismus: »Pierre Leroux, que les gravures du temps représentent les mains jointes, l’air extatique, veut absolument faire passer à la Revue des Deux-Mondes un article sur Dieu … On se souvient que Louis Blanc offrit à Ruge le régal d’une conférence contre l’athéisme. Quinet, avec Michelet, lutte à corps perdu contre les Jésuites; mais il garde le secret désir de réconcilier ses compatriotes avec l’Evangile.« C Bouglé: Chez les prophètes socialistes Paris 1918 p 161/162 [U 16 a, 2]

Heines »Deutschland« ist Enfantin gewidmet. [U 16 a, 3]

Schlabrendorf berichtet, daß Saint-Simon die Physik und nichts als die Physik zur wahren Religion machen wollte. »Die Religionslehrer sollten in den Kirchen Vorträge über die Geheimnisse und Wunder der Natur halten. Man würde da, denk’ ich, Elektrisirmaschinen auf den Altar gesetzt und die Gläubigen mit galvanischen Säulen gerührt haben.« Graf Gustav von Schlabrendorf in Paris über Ereignisse und Personen seiner Zeit [in Carl Gustav Jochmann: Reliquien Aus seinen nachgelassenen Papieren Gesammelt von Fleinrich Zschokke Erster Band Hechingen 1836 p 146][U 16 a, 4]

Enfantin begrüßt den Staatsstreich Louis-Napoléons als Werk der Vorsehung. [U 16 a, 5]

1846 begeisterte Aufnahme von Félicien Davids »Le Désert« bei der Uraufführung. Das Projekt des Suezkanals stand damals auf der Tagesordnung. »Ein idealistischer Poet preist die Wüste als Gleichnis der Ewigkeit und beklagt die Städter in ihren steinernen Grüften.« S Kracauer: Jacques Offenbach und das Paris seiner Zeit Amsterdam 1937 p 133 »Le Désert« wurde von Offenbach parodiert. [U 16 a, 6]

»Innerhalb der Traumarchitektur der Revolution nehmen Ledoux’ Versuche eine besondere Stelle ein … Der Würfel seines ›Hauses des Friedens‹ erscheint ihm legitimiert, da er das Symbol der Gerechtigkeit und der Beständigkeit ist, und ähnlich dürften ihm alle elementaren Formen bedeutungsvolle Zeichen innerer Klärung gewesen sein. Die ville naissante, die Stadt, in der ein erhöhtes … Leben seine Heimstätte finden sollte, wird von der reinen Kontur der Ellipse umfangen … Von dem Hause des neuen Rechtes, dem Pacifère, sagt er in der ›Architecture‹: ›Der Bau, den meine Phantasie ersonnen hat, soll einfach sein wie das Recht, das in ihm gesprochen wird.‹« Emil Kaufmann: Von Ledoux bis Le Corbusier Ursprung und Entwicklung der autonomen Architektur Wien Leipzig 1933 p 32 [U 17, 1]

Ledoux Temple de memoire (Haus der Frauen): »Die erzählenden Reliefs von vier an den Ecken eines Landhauses stehenden Triumphsäulen sollten den Ruhm der Lebenspenderinnen, der Mütter, verkünden, an Stelle der herkömmlichen Monumente, die den blutigen Erfolgen der Feldherren gesetzt werden. Mit diesem seltsamen Werk wollte der Künstler den Frauen danken, die ihm im Leben begegnet waren.« Emil Kaufmann: Von Ledoux bis Le Corbusier Wien Leipzig 1933 p 38 [U 17, 2]

Zu Ledoux: »Da die Rangunterschiede in der Architektur fallen, werden alle Bauaufgaben gleichwertig … Den früheren thematischen Eklektizismus, der fast nur mit Kirche, Schloß, ›besseren‹ Wohnhäusern und allenfalls dem Wehrbau sich befaßte, verdrängt der neue architektonische Universalismus … Der revolutionäre Prozeß der Verbürgerlichung des Wohnbaues geht dem Aufhören des Barocken Verbandes als Kunstform parallel … Ein größerer Komplex, der wohl als Siedlung vor der Stadt gemeint ist, besteht aus einer Anzahl um einen quadratischen Hof gelegener, zwei- bis vierzimmeriger Wohnungen, von denen jede die notwendigen Garderoberäume besitzt, während die Küche, die Vorratskammern und die sonstigen Wirtschaftsräume in einem in der Mitte des Hofes befindlichen Bau untergebracht sind. Es zeigt sich derart wohl zum erstenmal der Wohntypus, den man in unserer Gegenwart als Einküchenhaus propagiert.« Emil Kaufmann: Von Ledoux bis Le Corbusier Wien Leipzig 1933 p 38 [U 17, 3]

»On avait découvert l’Orient, certains étaient partis pour y chercher la Mère – la Mère, vraie figure de ce siècle couvert de mamelles comme la Diane d’Ephèse.« Adrienne Monnier: La Gazette des Amis des Livres p 14 (L⁠〈a〉 G⁠〈azette〉 d⁠〈es〉 A⁠〈mis〉 d⁠〈es〉 L⁠〈ivres〉 I, 1 Janvier 1938 Paris) [U 17, 4]

»L’Homme se souvient du Passé; la Femme pressent l’Avenir; le Couple voit le Présent.« Saint-Simonistische Formel bei Du Camp: Souvenirs littéraires II Paris 1906 p 93 [U 17 a, 1]

»La Mère«: »Ce devait être la femme libre … La femme libre devait être une femme de réflexion et de raisonnement qui … ayant approfondi les aptitudes féminines … ferait la confession de son sexe … La recherche de … La Mère, n’était point une innovation d’Enfantin; bien avant lui, Saint-Simon, alors qu’Augustin Thierry était son secrétaire, avait tenté de trouver cette … merveille … et croyait bien l’avoir découverte dans Mme de Staël.« Diese lehnt den Vorschlag, mit Saint-Simon der Menschheit zu einem Messias zu verhelfen, ab. (p 91-93) – »La mission de La Mère se forma et partit. Les pèlerins étaient au nombre de douze, y compris Barrault, chef de l’expédition. Il fallait aller jusqu’à Constantinople … on n’avait pas d’argent. Vêtus de blanc, en signe du voeu de chasteté qu’ils avaient prononcé au moment de quitter Paris, le bâton à la main, ils mendiaient le long des routes, au nom de La Mère. En Bourgogne, ils se ›louèrent‹ pour faire la moisson; à Lyon, ils arrivèrent la veille d’une exécution capitale et, au matin, devant l’échafaud, protestèrent contre la peine de mort. Ils s’embarquèrent à Marseille et firent œuvre de matelot à bord d’un navire marchand dont le second était Garibaldi … Ils dormaient dans le grand champ des morts, abrités par les cyprès contre la rosée du matin, vaguant dans les bazars, s’arrêtant parfois et prêchant la foi de Saint-Simon, parlant français à des Turcs qui ne les comprenaient pas.« (p 94/5) Sie werden verhaftet, freigelassen, beschließen auf Rotouma, im pazifischen Ozean die Mutter zu suchen, kommen aber nur bis Odessa und werden von dort in die Türkei zurückgeschickt. Nach Maxime Du Camp: Souvenirs littéraires II Paris 1906 [U 17 a, 2]

»Gaudissart réclama une indemnité de cinq cents francs pour les huit jours pendant lesquels il devait se mettre au fait de la doctrine de Saint-Simon, en objectant les prodigieux efforts de mémoire et d’intelligence nécessaires pour étudier à fond cet article.« Gaudissart reist für den Globe (und das Journal des enfants). H de Balzac: L’illustre Gaudissart Paris ed Calmann-Lévy p 11 [U 18, 1]

Die Continentalsperre war gleichsam die erste Probe auf das Exempel des Saint-Simonismus. Heine (Sämtliche Werke Hamburg 1876 I p 155 – Französische Zustände) nennt Napoleon I einen saintsimonistischen Kaiser. [U 18, 2]

In den hinten zu knöpfenden Wämsern der Saintsimonisten wird man eine Anspielung auf das androgyne Ideal der Schule erkennen dürfen. Es ist aber anzunehmen, daß sie Enfantin selbst unbewußt geblieben ist. [U 18, 3]

Constantin Pecqueur, adversaire des saint-simonistes répond »à la question posée en 1838 par l’Académie des Sciences morales: ›Quelle peut être sur … l’état social … l’influence des … moyens de transport qui se propagent actuellement …?‹« »Le développement des chemins de fer, en même temps qu’il amènera les voyageurs à fraterniser dans les wagons, surexcitera … l’activité productrice des hommes.« Pierre-Maxime Schuhl: Machinisme et philosophie Paris 1938 p 67 [U 18, 4]

Die geschichtliche Signatur der Eisenbahn besteht darin, daß sie das erste – und bis auf die großen Überseedampfer wohl auch das letzte – Verkehrsmittel darstellt, welches Massen formiert. Die Postkutsche, das Auto, das Flugzeug führen Reisende nur in kleinen Gruppen mit. [U 18, 5]

»La vie pâle de notre civilisation, unie comme la rainure d’un chemin de fer« sagt Balzac. La peau de chagrin ed Flammarion Paris p 45 [U 18, 6]