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[Anthropologischer Materialismus, Sektengeschichte]

»Gustav: Ihr Steiß ist … göttlich!
Berdoa: Sollt er nicht gar unsterblich sein?
Gustav: Wie?
Berdoa: Nichts.«

Grabbe: Herzog Theodor von Gothland

Die großspurigen und larmoyanten Mémoires de Chodruc-Duclos Recueillis et publiés par J Arago et Edouard Gouin Paris 1843 (I, II) sind stellenweise durch Elemente zu einer Physiologie des Bettlers interessant. Die lange Préface ist unsigniert und enthält nichts über das Manuscript. Die Memoiren können apokryph sein. Es heißt darin: »Qu’on ne s’y trompe pas, ce n’est pas tant le refus qui humilie que l’obole … Je ne demandais jamais en tendant la main. Je marchais plus vite que celui qui allait faire droit à ma requête, j’ouvrais ma main droite, on y glissait quelque chose.« II p 11/12 Und: »L’eau soutient! … je me bourrais d’eau parce que je n’avais pas de pain.« II p 19 [p 1, 1]

Szene im Schlafsaal eines Gefängnisses, Anfang der dreißiger Jahre. Der Autor zitiert, ohne Angabe des Autors: »Le soir, dans le dortoir en rumeur, ›les ouvriers républicains, avant de se coucher, jouaient la Révolution de 1830, espèce de charade composée par eux; elle reproduisait toutes les scènes de la glorieuse semaine, depuis la délibération de Charles x et des ministres signant les Ordonnances jusqu’au triomphe du peuple; on figurait le combat des barricades par une bataille à coups de traversin derrière les lits et les matelas entassés; enfin les vainqueurs et les vaincus se réconciliaient pour chanter la Marseillaise.‹« Charles Benoist: L’homme de 1848 I (Revue des deux mondes 1 juillet 1913 p 147) Vermutlich steht die zitierte Stelle bei Chateaubriand. [p 1, 2]

Ganeau. »Le Mapah … se présente sous les espèces d’un parfait dandy, aimant les chevaux, adorant les femmes, goûtant la bonne chère, mais complètement dénué d’argent. Il supplée à cette impécuniosité par le jeu: c’est un habitué de tous les tripots du Palais-Royal … Il se croit destiné à être le redempteur de la compagne de l’homme, et … prend le titre de Mapah, nom formé des premières syllabes des deux mots maman et papa. Il ajoute que tous les noms propres doivent être modifiés de cette manière: on doit porter, non plus le nom de son père, mais la première syllabe du nom maternel combinée avec celle du nom paternel. Et, pour bien marquer qu’il se dépouille à jamais de son ancien nom … il signe: ›Celui qui fut Ganeau‹.« Er verteilt seine Flugschriften am Ausgang der Theater oder verschickt sie; suchte auch Victor Hugo zum Protektorat über seine Lehre zu bewegen. Jules Bertaut: Le »Mapah« (Le Temps 21 septembre 1935) [p 1, 3]

Charles Louandre über die von ihm der Sittenverderbnis bezichtigten Physiologien: »Ce triste genre … a bien vite accompli ses destinées. La physiologie, qui se produit dans le format in-32 pour se faire acheter … par les promeneurs, figure, en 1836, dans la Bibliographie de la France, pour 2 volumes; elle en donne 8 en 1838, 76 en 1841, 44 en 1842, 15 l’année suivante, et c’est à peine si, depuis deux ans, on en trouve 3 ou 4. De la physiologie des individus on est passé à la physiologie des villes. On a eu Paris la nuit, Paris à table, Paris dans l’eau, Paris à cheval, Paris pittoresque, Paris bohémien, Paris littéraire, Paris marié; puis est venue la physiologie des peuples: les Français, les Anglais peints par eux-mêmes; ensuite celle des animaux: les Animaux peints par eux-mêmes et dessinés par d’autres. Enfin … les auteurs … à bout de sujets, ont fini par se peindre eux-mêmes, et nous ont donné la Physiologie des physiologistes.« Charles Louandre: Statistique littéraire De la production intellectuelle en France depuis quinze ans (Revue des deux mondes 15 novembre 1847 p 686/687) [p 1 a, 1]

Thesen von Toussenel: »Que le bonheur des individus est en raison directe de l’autorité féminine«; »que le rang des espèces est en raison directe de l’autorité féminine.« A Toussenel: Le monde des oiseaux I Paris 1853 p 485 Erstere die »formule du Gerfaut« (p 39) [p 1 a, 2]

Toussenel über sein Monde des oiseaux: »Le monde des oiseaux n’en est que le sujet accessoire, tandis que le monde des hommes en est le sujet principal.« lc I p 2 (Avertissement de l’auteur) [p 1 a, 3]

Toussenel im Avertissement de l’auteur zum Monde des oiseaux: »Il [l’auteur] a cherché à relever l’importance de la partie culinaire de son sujet en donnant à l’article Rôti plus de place qu’il n’en occupe habituellement dans les œuvres scientifiques.« lc I p 2 [p 1 a, 4]

»Nous admirons l’oiseau … parce que chez l’oiseau, comme dans toute politique bien organisée … c’est la galanterie qui distribue les rangs … Nous sentons d’instinct que la femme, qui est sortie des mains du Créateur après l’homme, a été faite pour commander à celui-ci, comme celui-ci est né pour commander aux bêtes qui sont venues avant lui.« 〈lc p 38〉 [p 1 a, 5]

Nach Toussenel stehen die Rassen, die die Frau am höchsten stellen, zuoberst, gelegentlich die Germanen, aber vor allem Franzosen und Griechen: »Comme l’Athénien et le Français sont marqués au faucon, le Romain et l’Anglais le sont à l’aigle.« (Der Adler aber »ne se rallie pas au service de l’humanité«.) A Toussenel: Le monde des oiseaux I Paris 1853 p 125 [p 1 a, 6]

Komische Physiologien: Musée pour rire, Musée Philipon, Musée ou Magasin comique, Musée parisien, Les métamorphoses du jour. [p 2, 1]

Graphische Folge »Les Vésuviennes« von Beaumont: 20 Blätter. Daumiers Folge: »Les Divorceuses«. Eine Folge – von wem? – »Les bas-bleus« [p 2, 2]

Entstehung der Physiologien: »Der heiße politische Kampf der Jahre 1830-35 hatte eine Armee von Zeichnern formiert, … und diese Armee … war durch die Septembergesetze politisch völlig außer Gefecht gesetzt worden. Zu einer Zeit also, da sie alle Geheimnisse ihrer Kunst ergründet hatte, wurde sie plötzlich auf ein einziges Operationsfeld gedrängt, auf die Schilderung des bürgerlichen Lebens … Dies ist die Voraussetzung, aus der sich die kolossale Revue des bürgerlichen Lebens erklärt, die ungefähr in der Mitte der dreißiger Jahre in Frankreich einsetzte … Alles defilierte vorüber, … Freudentage und Trauertage, Arbeit und Erholung, Eheliche Sitten und Junggesellengebräuche, Familie, Haus, Kind, Schule, Gesellschaft, Theater, Typen, Berufe.« Eduard Fuchs: Die Karikatur der europäischen Völker Vierte Auflage München 〈1921〉 I p 362 [p 2, 3]

Welche Mesquinerie hat um das Jahrhundertende sich von neuem in der Darstellung physiologischer Tatbestände festgesetzt! Bezeichnend hierfür ist eine Beschreibung der Impotenz aus Maillards Buch über die Geschichte der Frauenemanzipation, das in seiner Gesamthaltung die Reaktion der gefestigten Bourgeoisie auf den anthropologischen Materialismus drastisch belegt. Im Zusammenhang der Darstellung von Claire Demar’s Lehre heißt es da: »Elle … parlera des déceptions qui peuvent résulter de l’étrange et énorme sacrifice au péril duquel, sous le ciel brûlant de l’Italie, plus d’un jeune enfant court la chance de devenir un chanteur célèbre.« Firmin Maillard: La légende de la femme émancipée Paris p 98 [p 2, 4]

Eine Hauptstelle aus dem Manifest von Claire Demar: »L’union des sexes dans l’avenir devra être le résultat des sympathies … les mieux étudiées …; et alors même qu’on reconnaîtrait l’existence des rapports intimes, secrets et mystérieux de deux âmes … Tout cela pourra bien encore venir se briser contre une dernière épreuve décisive, mais nécessaire, indispensable. L’epreuve de la Matière par la Matière; l’essai de la Chair par la Chair!!! … C’est que bien souvent, au seuil de l’alcove, une flamme dévorante est venue s’éteindre; c’est que bien souvent, pour plus d’une grande passion, les draps parfumés du lit sont devenus un linceul de mort; c’est que plus d’une … lira ces lignes, qui le soir était entrée dans la couche d’hymen, palpitante de désirs et d’émotions, qui s’est relevée le matin froide et glacée.« Claire Demar: Ma loi d’avenir Paris 1834 p 36/37 [p 2, 5]

Zum anthropologischen Materialismus. Schluß von Claire Demars: Ma loi d’avenir: »Plus de maternité, plus de loi du sang. Je dis plus de maternité: En effet la femme délivrée … de l’homme qui ne lui paiera plus le prix de son corps … ne tiendra son existence … que de … ses œuvres. Pour cela donc il faut bien que la femme fasse une œuvre, remplisse une fonction; – et comment le pourrait-elle, si toujours elle est condamnée à absorber une partie plus ou moins longue de sa vie dans les soins que réclame l’éducation d’un ou plusieurs enfans? … Vous voulez affranchir la femme! Eh! bien, du sein de la mère du sang, portez le nouveau-né aux bras de la mère sociale de la nourrice fonctionnaire, et l’enfant sera mieux élevé … Alors, seulement alors, l’homme, la femme, l’enfant, seront tous affranchis de la loi de sang de l’exploitation de l’humanité par l’humanité!« Claire Demar: Ma loi d’avenir Ouvrage posthume publié par Suzanne Paris 1834 p 58/59 [p 2 a, 1]

»Quoi donc! parce qu’une femme n’aurait pas mis le public dans la confidence de ses sensations de femme; parce que, parmi tous les hommes qui l’entoureraient de leurs soins … un autre œil que le sien ne saurait distinguer celui qu’elle préfère … il résulterait … qu’elle serait … l’esclave d’un homme … Quoi donc! une femme serait exploitée … parce que, sans crainte de les voir se déchirer, … elle pourrait donner simultanément satisfaction à plusieurs hommes dans leur amour … Je crois, avec M. James de Laurence, au besoin … d’une liberté sans … limites … appuyée sur le mystère, dont je fais la base de la morale nouvelle.« Claire Demar: Ma loi d’avenir Paris 1834 p 31/32 [p 2 a, 2]

Die Forderung des »mystère« in den Geschlechtsverbindungen, im Gegensatz zu ihrer »publicité« hangt bei Demar eng mit ihrer Forderung mehr oder weniger ausgedehnter Probezeiten zusammen. Allerdings soll die Form der Ehe wohl überhaupt von jener geschmeidigeren verdrängt werden. Logisch ist weiterhin, daß aus diesen Anschauungen die Forderung des Matriarchats hervorgeht. [p 2 a, 3]

Aus den gegen das Patriarchat gerichteten Darlegungen: »Ah! c’est appuyée sur un immense faisceau de poignards parricides, qu’au milieu des gémissemens soulevés de tant de poitrines, au seul nom de père et de mère, je m’aventure à élever la voix … contre la loi du sang, la loi de génération!« Claire Demar: Ma loi d’avenir Paris 1834 p 54/55 [p 2 a, 4]

Die Karikatur spielt eine erhebliche Rolle in der Ausbildung der Beschriftung. Bezeichnenderweise wirft Henri Bouchot: La lithographie Paris 〈1895〉 (p 114) Daumier die Länge und Unentbehrlichkeit der seinigen vor. [p 2 a, 5]

Henri Bouchot: La lithographie Paris (p 138) vergleicht Devéria seiner Produktivität nach mit Balzac und Dumas. [p 2 a, 6]

Zur Kennzeichnung des Verhältnisses, in dem Claire Demar zu James de Laurent steht, sind mehrere Stellen ihrer Schrift »Ma loi d’avenir« heranzuziehen. Die erste findet sich im Vorwort, das Suzanne zu derselben geschrieben hat und behandelt zunächst Claire Demars Weigerung, an der Tribune des femmes mitzuarbeiten: »Jusqu’au 17me numéro, elle avait constamment refusé, disant que le ton de ce journal était trop modéré … Lorsque ce numéro parut, il y eût, dans un article de moi, un passage qui, par sa forme, sa modération, exaspéra Claire. – Elle m’écrivit qu’elle allait y répondre. – Mais … sa réponse devint une brochure, elle se décida alors à la faire paraître seule, en dehors du journal … Voici au reste le fragment de l’article dont Claire n’a cité que quelques lignes. ›Il y a encore par le monde un homme qui interprète … le christianisme … d’une manière … favorable pour notre sexe: c’est M. James de Laurence, l’auteur d’une brochure intitulée: les Enfans de Dieu ou la Religion de Jésus … L’auteur n’est pas saint-simonien, … il fait … descendre les héritages par les mères; assurément ce système … est fort avantageux pour nous; j’ai foi qu’une partie entrera … dans la religion de l’avenir, et que le principe de la maternité deviendra une des lois fondamentales de l’Etat.‹« (Claire Demar: Ma loi d’avenir Ouvrage posthume publié par Suzanne Paris 1834 p 14-16) Im Text ihrer eignen Schrift macht Claire Demar sich die Sache von Laurence gegen die Einwände zu eigen, die die Tribune des femmes gegen ihn in Gestalt des Vorwurfs erhoben hat, er rede einer »liberté morale … sans règles, ni limites« das Wort, »ce qui … nous conduirait droit à un grossier et dégoûtant pêle-mêle«. Schuld daran trage, daß Laurence das Mysterium zum Prinzip in diesen Dingen erkläre, ein Mysterium kraft dessen wir allein einem mystischen Gott in diesen Dingen Rechenschaft schuldeten. Die Tribune des femmes dagegen meint: »La Société de l’avenir reposera, non sur le mystère, mais sur la confiance; car le mystère prolongerait encore l’exploitation de notre sexe.« Dagegen nun Claire Demar: »Certes, Mesdames, si, comme vous, je confondais la confiance et la publicité; si, comme vous, je proclamais que le mystère doit prolonger l’exploitation de notre sexe, je devrais saluer de mes bénédictions les temps où nous vivons.« Sie schildert nun die Brutalität der Sitten dieser Zeit: »Devant le maire et devant le prêtre … un homme et une femme ont entraîné une longue suite de témoins … Voilà … l’union dite légitime, celle qui permet à une femme sans rougir: tel jour, à telle heure, je recevrai un homme dans ma couche de femme!!! … L’union qui, contractée en face de la foule, se traîne lentement à travers une orgie de vins et de danses, jusqu’au lit nuptial, devenu le lit de la débauche et de la prostitution, et permet à l’imagination délirante des conviés de suivre … tous les détails … du drame lubrique joué sous le nom de jour de noces! Si l’usage qui traduit ainsi la jeune mariée … aux regards audacieux …, qui la prostitue aux désirs effrénés … ne vous paraît pas une horrible exploitation … je m’y perds.« (le p 29/30) [p 3, 1]

Erscheinungsdatum der ersten Nummer des Charivari: 1 XII 1832. [p 3, 2]

Lesbische Konfession einer Saint-Simonistin: »Je commençais à aimer autant mon prochain femme que mon prochain homme … j’abandonnais à l’homme sa force physique et son genre d’intelligence pour élever à côté de lui d’une manière égale la beauté corporelle de la femme et ses facultés particulières spirituelles.« Ohne Quellen- und ohne Personenangabe bei Firmin Maillard: La légende de la femme émancipée Paris p 65 [p 3 a, 1]

Die Kaiserin Eugénie als Nachfolgerin der Mère:

»Veuillez, et sacrée et bénie,
Le genre humain avec transport,
Saluera dans son EUGENIE,
L’archange qui le guide au port!!!«

Jean Joumet: L’ère de la femme ou le règne de l’harmonie universelle Janvier 1857 p 8 [p 3 a, 2]

Maximen aus James de Laurence: Les enfants de dieu ou la religion de Jésus réconciliée avec la philosophie Paris juin 1831: »Il est plus raisonnable de prétendre que tous les enfants sont faits par Dieu, que dé dire que tous les mariés sont liés par Dieu.« (p 14) Aus der Straflosigkeit der Ehebrecherin vor Jesus schließt Laurence, daß dieser die Ehe nicht wollte: »Il lui pardonna, parce qu’il considérait l’adultère comme la suite naturelle du mariage, et il l’eût avoué, s’il se fût trouvé parmi ses disciples … Tant que le mariage existe, une femme adultère doit être criminelle, parce qu’elle charge son mari des enfants d’autrui. Jésus ne pouvait pas tolérer une telle injustice; son système est conséquent: il voulait que les enfants appartinssent à la mère. De là, ces paroles remarquables: ›N’appelez personne sur la terre votre père, car vous n’avez qu’un père, qui est au ciel.‹« (p 13) »Les enfants de Dieu descendus d’une femme ne font qu’une famille … La religion des Juifs fut celle de la paternité, sous laquelle les patriarches exercèrent leur autorité domestique. La religion de Jésus est celle de la maternité, dont le symbole est une mère portant un enfant sur les bras; et l’on nomme cette mère la Vierge, parce qu’en remplissant les devoirs d’une mère, elle n’avait pas renoncé à l’indépendance d’une vierge.« (p 13/14) [p 3 a, 3]

»Quelques sectes … aux premiers siècles de l’Eglise, semblent avoir deviné les intentions de Jésus; les Simoniens, les Nicolaïtes, les Carpocratiens, les Basilidiens, les Marcionites et d’autres … n’avaient pas seulement aboli le mariage, mais établi la communauté des femmes.« James de Laurence: Les enfants de dieu ou la religion de Jésus reconciliée avec la philosophie Paris juin 1831 p 8 [p 3 a, 4]

Durchaus im Stile des frühen Mittelalters ist die Auslegung, die James de Laurence dem Wunder von Cana gibt, um es zu einem Beweis seiner These zu machen, Jesus habe der Ehe feindlich gegenübergestanden: »En voyant les deux conjoints faire le sacrifice de leur liberté, il changea l’eau en vin, pour démontrer que le mariage était une folie qu’on ne pouvait faire, qu’à moins que la raison ne fût troublée par le vin.« James de Laurence: Les enfants de dieu ou la religion de Jésus reconciliée avec la philosophie Paris juin 1831 p 8 [p 4, 1]

»Le Saint-Esprit, ou l’âme de la nature, descendit sur la Vierge comme une colombe; or, la colombe étant le symbole de l’amour, cela signifie que la mère de Jésus avait cédé au penchant naturel de l’amour.« James de Laurence: Les enfants de dieu Paris juin 1831 p 5 [p 4, 2]

Motive der theoretischen Schrift von Lawrence finden sich vorher in seinem vierbändigen Roman »Le Panorama des boudoirs ou l’empire des Nairs« Paris 1817, der schon vorher in Deutschland erschien und von dem ein Fragment bereits 1793 im Deutschen Merkur Wielands veröffentlicht wurde. Lawrence war Engländer. [p 4, 3]

»Unvergeßlich hat Balzac die Physionomie des Parisers geschildert: die zerquälten, gegerbten, fahlen Gesichter, ›la teinte presque infernale des physionomies parisiennes‹; nicht Gesichter, sondern Masken.« Ernst Robert Curtius: Balzac Bonn 1923 p 243 (Zitat aus der Fille aux yeux d’or) [p 4, 4]

»Balzacs Interesse an der Langlebigkeit gehört zu den Dingen, die er mit dem 18. Jahrhundert gemein hat. Die Naturforscher, die Philosophen, die Charlatans dieser Zeit begegnen sich darin … Condorcet erwartete von der Zukunftsära, die er in leuchtenden Farben malte, eine unbegrenzte Verlängerung der Lebensdauer. Der Graf St. Germain verabreichte einen ›Lebenstee‹, Cagliostro ein ›Lebenselixir‹; andere empfahlen ›Sideralsalze‹, ›Goldtinktur‹, ›magnetische Betten‹.« Ernst Robert Curtius: Balzac Bonn 1923 p 101 [p 4, 5]

Es gibt bei Fourier (Nouveau monde 〈Paris 1829/1830〉 p 275) Ausführungen gegen die noces, die an Auslassungen von Claire Demar erinnern. [p 4, 6]

Notiz Blanqui’s vom Frühjahr 1846, im Hospital in Tours: »Les jours de communion, les sœurs de l’hospice de Tours sont inabordables, féroces. Elles ont mangé Dieu. L’orgueil de cette digestion divine les convulsionne. Ces vases de sainteté deviennent des fioles de vitriol.« Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 1926 I p 133 [p 4, 7]

Zur Hochzeit von Cana; 1848⁠〈:〉 »Un banquet des pauvres est projeté, le banquet à vingt-cinq centimes: du pain, du fromage et du vin, bus et mangés plaine Saint-Denis. Il n’eut pas lieu, fixé d’abord au 11 juin, puis au 18 juin, puis au 14 juillet, mais les réunions qui le préparent, la souscription ouverte, les adhésions qui sont, au 8 juin, de 165 532, achèvent de surexciter l’opinion.« Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 1926 I p 192 [p 4 a, 1]

»En 1848, il y a dans la chambre.de Jenny l’ouvrière, épinglés au mur, les portraits de Béranger, de Napoléon et de la Madone. La croyance est certaine à l’avènement du culte de l’Humanité. Jésus est un grand homme de 48. Dans la masse, il y a les indices d’une foi aux présages … L’Almanach prophétique de 1849 annonce le retour de la comète de 1264, produite par la vertu de Mars, comète guerrière.« Gustave Geffroy: L’enfermé Paris 1926 I p 156 [p 4 a, 2]

Babick, Deputierter des 10ten arrondissements, Pole, Arbeiter, dann Schneider, dann Parfümeur: »Il était … membre de l’Internationale et du Comité central, en même temps qu’apôtre du culte fusionnien. Une religion d’inspiration alors récente, faite à l’usage des cerveaux semblables au sien. Composée par certain M. de Toureil, elle réunissait … plusieurs cultes, auxquels Babick avait joint le spiritisme. Pour elle il avait, en parfumeur, créé une langue fleurant, à défaut d’autre mérite, la drogue et l’onguent. Il écrivait en tête de ses lettres: Paris-Jérusalem, les datait d’une année de l’ère fusionnienne, signait: Babick, enfant du règne de Dieu et parfumeur.« Georges Laronze: Histoire de la Commune de 1871 Paris 1928 p 168/9 [p 4 a, 3]

»L’initiative fantaisiste du colonel de la 12e légion ne fut pas plus heureuse. Elle instituait une compagnie de citoyennes volontaires chargée, pour la plus grande honte des réfractaires, d’opérer leur arrestation.« Georges Laronze: Histoire de la Commune de 1871 Paris 1928 p 501 [p 4 a, 4]

Die Zeitrechnung des fusionisme beginnt mit dem 30 Dezember 1845. [p 4 a, 5]

Maxime Du Camp macht in den Souvenirs zu den Evadiens ein Wortspiel mit s’évader. [p 4 a, 6]

Aus der Constitution der Vésuviennes: »Les citoyennes devront fournir leur contingent aux armées de terre et de mer … Les enrôlées formeront une armée dite de réserve qui sera partagée en trois corps, le corps des ouvrières, le corps des vivandières, le corps de charité … Le mariage étant une association, chacun des deux époux doit partager tous les travaux. Tout mari qui refusera de remplir sa part des soins domestiques, sera condamné … à prendre au lieu des son service personnel dans la garde nationale, le service de sa femme dans la garde civique.« Firmin Maillard: La légende de la femme émancipée Paris p 179 u 181 [p 5, 1]

»Die zwischen starker Anziehung und noch stärkerer Abstoßung schwankenden Gefühle, die Hegel bei den Mitgliedern des jungen Deutschland auslöste, spiegeln sich am anschaulichsten in Gustav Kühnes Quarantäne im Irrenhause … Weil das junge Deutschland nachdrücklicher als die objektive Freiheit die subjektive Willkür betonte, verachteten die Junghegelianer die ›prinziplose Zerfahrenheit ihres belletristischen Egoismus‹ … Wenn aus den Reihen des jungen Deutschland die Befürchtung laut wurde, daß die unentrinnbare Dialektik der Hegelschen Lehre der Jugend die Kraft des … Handelns rauben möchte, so erwies diese Sorge sich als nicht gerechtfertigt.« Umgekehrt; denn als die Jungdeutschen »nach dem Verbot ihrer Schriften erkennen mußten, wie tüchtig sie sich die Hände verbrannt hatten, von deren emsiger Arbeit sie gut bürgerlich zu leben hofften, da brauste ihr Ungestüm rasch ab.« Gustav Mayer: Friedrich Engels Erster Band Friedrich Engels in seiner Frühzeit Berlin 〈1933〉 p 37-39 [p 5, 2]

Um die gleiche Zeit, da die »Physiologien« aufkamen, legten Historiker wie Thierry, Mignet, Guizot den Nachdruck auf die Analyse des »bürgerlichen Lebens« [p 5, 3]

Engels über das Wuppertal: »Hier bereitet sich ein prächtiger Boden für unser Prinzip vor, und wenn wir erst unsre wilden, heißblütigen Färber und Bleicher in Bewegung setzen können, so sollst Du Dich über das Wuppertal noch wundern. Die Arbeiter sind so schon seit ein paar Jahren auf der letzten Stufe der alten Zivilisation angekommen, sie protestieren durch eine reißende Zunahme von Verbrechen, Räubereien und Morden gegen die alte soziale Organisation. Die Straßen sind bei Abend sehr unsicher, die Bourgeoisie wird geprügelt und mit Messern gestochen und beraubt; und wenn die hiesigen Proletarier sich nach denselben Gesetzen entwickeln wie die englischen, so werden sie bald einsehen, daß diese Manier … nutzlos ist, und als Menschen in ihrer allgemeinen Kapazität durch den Kommunismus protestieren.« Engels an Marx Oktober 1844 aus Barmen [Karl Marx/Friedrich Engels: Briefwechsel hg vom Marx-Engels-Lenin-Institut Bd I 〈Zürich〉 1935 p 4/5][p 5, 4]

Das heroische Ideal Baudelaires ist androgyn. Das hindert ihn nicht, zu schreiben: »Nous avons connu la femme-auteur philanthrope, la prêtresse systématique de l’amour, la poétesse républicaine, la poétesse de l’avenir, fouriériste ou saint-simonienne; et nos yeux … n’ont jamais pu s’accoutumer à toutes ces laideurs compassées.« Baudelaire: L’art romantique (éd Hachette tome III) Paris p 340 (Marceline Desbordes-Valmore) [p 5 a, 1]

Eine der späteren Sektenbildungen des 19ten Jahrhunderts ist die religion fusionienne. Es propagierte sie LJB de Tourreil (* VIII † 1863 (oder 68?)) Der fouriersche Einfluß macht sich in seiner Periodisierung der Geschichte geltend; von Saint-Simon stammt die Vorstellung der Trinité als einer Einheit von Mère-Père mit der sich Fille-Fils oder Androgyne verbindet. Die Universalsubstanz wird in ihrem Verhalten von drei Vorgängen bestimmt, in deren Definition der minderwertige Fond dieser Lehre zum Vorschein kommt. Diese Vorgänge sind: »L’émanation, … la propriété que possède la substance universelle de s’expandre infiniment hors d’elle-même … L’absorption, … la propriété que possède la substance universelle de se replier infiniment sur elle-même … L’assimilation, … la propriété que possède la substance universelle de se pénétrer intimement avec elle-même.« (p I) – Eine charakteristische Stelle aus dem Aphorismus »Pauvres, riches«, der die Reichen anredet und ihnen von den Armen spricht: »Et d’ailleurs, si vous ne voulez point les élever jusqu’à vous et dédaignez de vous mêler à eux, pourquoi donc respirez-vous le même air, habitez-vous la même atmosphère? Pour ne point respirer et vous assimiler leur émanation … il vous faut sortir de ce monde, respirer un autre air, vivre dans une autre atmosphère.« (p 267) – Die Toten sind multiformes und existieren an vielen Orten der Erde auf einmal. Deshalb müssen sich die Menschen zu ihren Lebzeiten sehr für die Verbesserung der Erde interessieren, (p 307) Schließlich vereinigt sich alles in einer Reihe von Sonnen, die am Ende, nachdem sie die Station uni-lumière durchlaufen haben, in der région universalisante die lumière universelle realisieren. Religion fusionienne ou doctrine de l’universalisation réalisant le vrai catholicisme Paris [1902][p 5 a, 2]

»Moi. Avez-vous encore quelque pratique de culte qui soit remarquable? M. de Toureil. Nous prions souvent, et nos prières commencent ordinairement par ces mots: o Map suprême éternel. Moi. Que signifie ce son: Map? M. de Toureil. C’est un son sacré qui réunit l’m signifiant mère, le p signifiant père et l’a signifiant amour … Ces trois lettres désignent le grand Dieu éternel.« Alexandre Erdan [AA Jacob]: La France mistique 2 vol Paris [1855] II p 632 [durchgehende Paginierung][p 6, 1]

Fusionisme geht nicht etwa auf einen Synkretismus, sondern auf die Verschmelzung der Menschen untereinander und mit Gott. [p 6, 2]

»Il ne devait y avoir du bonheur pour l’humanité que le jour où la République aurait renvoyé le fils de Dieu à l’atelier de menuiserie de monsieur son père.« Dieser Satz wird Courbet in einem Flugblatt in den Mund gelegt, das die Helden der Februarrevolution dem Publikum vorstellt. [p 6, 3]